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 Salut j'ai besoin d'une correction de faute d'orthographe merci.

 

 

Cher max,

 

Je pense que tu ne sais pas ce qui m'arrive, je vais t'expliquer pourquoi maintenant il est tant difficile de communiquer avec toi.

 

C'était un lundi après midi, comme d'habitude je me produisais dans ce théâtre au centre-ville de Berlin, c'était alors mon treizième passage. Je sentais qu'il allait se passer quelque chose de mal, le treize ne ma jamais porter bonheur. Lorsque je suis rentrait sur scène une personne s'est levée et ma traité de "sale juive", plusieurs personnes l'on suivit, ils m'ont huée et insultée de tous les noms. Toi qui me connaîs, tu sais que je ne me suis pas laissé faire, je leur et répondue que j’étais juive et fier de l’être. Ceci a été le début de mes soucis, certains spectateurs furieux se sont levés et sont montée sur scène. Il ma fallu une demi-seconde pour déguerpir. Une comédienne ma aidée à sortir de là et ma accueilli dans sa cave avec une autre famille juive.

 

A Berlin la vie se dégrade de plus en plus. Lorsque je suis arrivé je trouvais cette ville resplendissante les immeubles et l'architecture allemande m’impressionnait, leur nourriture était également très bonne. Plusieurs événements me surpris, tout d'abord la fermeture des magasins juifs, et la montaient en puissance du nazisme. Une semaine seulement après mon arrivée la Gestapo arrêta devant moi deux juifs dans leur propre magasin. Des croix gammées étaient tagué et collé en affiche de partout sur les murs des immeubles. Cela me désole de voir notre communauté traité ainsi en Allemagne.

 

Concernant Martin je n'arrive pas à croire qu'il soit tombé entre les mains des nazis, je perds l'estime que j'avais pour lui. J'ai perdu ma joie de vivre et vie constamment avec la boule au ventre. J’espère te revoir et ne pas mourir ici. Pourquoi les nazis s'acharnent-t-il autant sur nous ? Qu'avons-nous fait ? Pourquoi je ne t'ai pas écouté ?

 

Ta sœur qui t'aime. Griselle

 


Sagot :

C'était un lundi après-midi, comme d'habitude je me produisais dans ce théâtre au centre-ville de Berlin, c'était alors mon treizième passage. Je sentais qu'il allait se passer quelque chose de mal, le treize ne m’a jamais porté bonheur. Lorsque je suis rentrée sur scène une personne s'est levée et m’a traité de "sale juive", plusieurs personnes l'on suivit, ils m'ont huée et insultée de tous les noms. Toi qui me connais, tu sais que je ne me suis pas laissé faire, je leur et répondue que j’étais juive et fier de l’être. Ceci a été le début de mes soucis, certains spectateurs furieux se sont levés et sont montée sur scène. Il m’a fallu une demi-seconde pour déguerpir. Une comédienne m’a aidée à sortir de là et ma accueilli dans sa cave avec une autre famille juive.

 

A Berlin la vie se dégrade de plus en plus. Lorsque je suis arrivé je trouvais cette ville resplendissante les immeubles et l'architecture allemande m’impressionnait, leur nourriture était également très bonne. Plusieurs événements me surpris, tout d'abord la fermeture des magasins juifs, et la montaient en puissance du nazisme. Une semaine seulement après mon arrivée la Gestapo arrêta devant moi deux juifs dans leur propre magasin. Des croix gammées étaient taguées et collé en affiche de partout sur les murs des immeubles. Cela me désole de voir notre communauté traité ainsi en Allemagne.

 

Concernant Martin je n'arrive pas à croire qu'il soit tombé entre les mains des nazis, je perds l'estime que j'avais pour lui. J'ai perdu ma joie de vivre et vie constamment avec la boule au ventre. J’espère te revoir et ne pas mourir ici. Pourquoi les nazis s'acharnent-t-il autant sur nous ? Qu'avons-nous fait ? Pourquoi je ne t'ai pas écouté ?

 

Ta sœur qui t'aime. Giselle

Cher max,

 

Je pense que tu ne sais pas ce qui m'arrive, je vais t'expliquer pourquoi maintenant il est tant difficile de communiquer avec toi.

 

C'était un lundi après midi, comme d'habitude je me produisais dans ce théâtre au centre-ville de Berlin, c'était alors mon treizième passage. Je sentais qu'il allait se passer quelque chose de mal, le treize ne ma jamais porté bonheur. Lorsque je suis rentré sur scène une personne s'est levée et m'a traité de "sale juive", plusieurs personnes l'on suivit, ils m'ont huée et insultée de tous les noms. Toi qui me connais, tu sais que je ne me suis pas laissé faire, je leur ai répondu que j’étais juive et fière de l’être. Ceci a été le début de mes soucis, certains spectateurs furieux se sont levés et sont montés sur scène. Il m'a fallu une demi-seconde pour déguerpir. Une comédienne m'a aidée à sortir de là et m'a accueilli dans sa cave avec une autre famille juive.

 

A Berlin la vie se dégrade de plus en plus. Lorsque je suis arrivé je trouvais cette ville resplendissante les immeubles et l'architecture allemande m’impressionnaient, leur nourriture était également très bonne. Plusieurs événements m'ont surpris, tout d'abord la fermeture des magasins juifs, et la montée en puissance du nazisme. Une semaine seulement après mon arrivée la Gestapo arrêta devant moi deux juifs dans leur propre magasin. Des croix gammées étaient taguées et collées en affiche de partout sur les murs des immeubles. Cela me désole de voir notre communauté traitée ainsi en Allemagne.

 

Concernant Martin je n'arrive pas à croire qu'il soit tombé entre les mains des nazis, je perds l'estime que j'avais pour lui. J'ai perdu ma joie de vivre et vis constamment avec la boule au ventre. J’espère te revoir et ne pas mourir ici. Pourquoi les nazis s'acharnent-t-ils autant sur nous ? Qu'avons-nous fait ? Pourquoi je ne t'ai pas écouté ?

 

Ta sœur qui t'aime. Griselle

 

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