pourrait-on me traduire ça:

"Al terminar la guerra, el Profesor Leal decidió partir rumbo a Francia, pero no le permitieron

sacar a la enferma del asilo donde se recuperaba y tuvo que robársela durante la noche. La montó sobre dos tablones en cuatro ruedas, colocó al recién nacido en su brazo sano, los ató con una manta y los llevó a la rastra15 por esos caminos de pesadumbreque

conducían al exilio. Cruzó la frontera con una mujer que no lo reconocía y cuya única señal de entendimiento era cantar para su criatura. Iba sin dinero, no contaba con amigos y

cojeaba a causa de una herida de bala en el muslo, que no consiguió hacer más lento su

paso cuando se trató de poner a salvo  a los suyos. Como único objeto personal llevaba

una vieja regla de cálculo heredada de su padre, que le había servido en la reconstrucción de edificios y trazado de trincheras en el campo de batalla. Al otro lado de la frontera, la policía francesa aguardaba la interminable caravana de los derrotados."



Sagot :

C'est une traduction approximative que je te donne..

" A la fin de la guerre, le professeur Leal décida de partir enseignier en France, mais il n'a pas été autorisé

malade obtenir l'asile où il était en convalescence et a dû voler pendant la nuit. Les deux planches montées sur quatre roues, ont placé le nouveau-né dans son bras, les ont attachés avec une couverture et les ont emmenés au rastra15 dans ces façons de  (pesadumbreque ?)

conduit à l'exil. Il a traversé la frontière avec une femme qui ne reconnaît pas et dont le seul signe de compréhension était chanté à son enfant. Il était sans un sou, n'avait pas d'amis et

boitait à cause d'une blessure par balle à la cuisse, qui a échoué à ralentir sa

l'étape quand il a essayé de sauver la sienne. Comme seul objet personnel effectué

une vieille règle de diapositives héritée de son père, qui avait servi dans la reconstruction des bâtiments et l'aménagement de tranchées sur le champ de bataille. À travers la frontière, la police française attendait la caravane sans fin des vaincus ».

MARY31
"À la fin de la guerre, le  professeur Leal  a décidé de quitter le cours en France, mais ne pouvait pas retirer le patient de l'asile où il a récupéré et a dû voler durant la nuit. Il est monté sur deux planches sur quatre roues, placé au nouveau-né dans ses bras sain, les attachés avec une couverture et emmenés à la rastra15 de ces chemins d'accés de la tristesse qui  conduit à l'exil. Il a traversé la frontière avec une femme qui ne lui reconnait pas et dont le seul signe de compréhension était  chantait   à sa créature.Il n'avait pas d'argent, il n'avait pas d'amis et boitait à cause d'une blessure par  balle à la cuisse qu'il n'est pas parvenu à rendre plus lente son pas quand il s'est agi de sauver les siens. Comme seul objet personnel portait une vieille règle de calcul héritée de son père, qu'il lui avait servi dans la reconstruction des  bâtiments et croquis de tranchées dans le domaine de bataille. À l'autre côté de la frontière, la police française attendait la caravane interminable des battus »