Bonjour, je suis en 3e , dans une bande déssinée de Tardi ' C'etait la guerre des tranchées' , un soldat  ' Binet ' par à la recherche de  son camarade faucheux qui a disparu suite à une attaque d'obus allemand, il retrouve Faucheux mort dans le trou d'obus ou il devait se caché , et à ca moment là il prit 5 projectiles au ventre , il souffre beaucoup etc.. A 4h25, il tomba a genoux , ses jambes ne le portait plus il se vidait de son sang [...] un vent terrible soufflait et Binet ne pput s'empecher de penser a la journée qui se péparait . Passerait - il la nuit ?... Est ce que ca valait la peine de voir et vivre ca ? Puis il pensa qu'il etait temps pour lui de ne plus se poser de question .

Rédaction : sujet d'imagination : Le soldat Binet , apres avoir été griévement blessé, trouve tout de meme la force d'ecrire une derniere lettre a sa femme . Il lui raconte d'abord ce qu'il vient de vivre en insistant sur ses sentiments, puis au seuil de la mort, il exprime ses doutes au sujet de la guerre en répondant à la question : ''est cce que ca valait la peine de vivre ca? ''

Merci de m'aider , car je suis tres nulle en rédaction , c'est mon point faible . :)



Sagot :

Idée pour ta rédaction: je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais, même dans la mort je penserais à toi, je serais déjà mort quand tu recevras cette lettre, (la t'explique les détails pourquoiil va mourir…) prend soit de les enfants, va voir ma cousine elle habite (trouve un nom de village) … dire, que l'état nous on obliger à combattre même si nous le voulons pas, j'aurais aimer rester avec toi bien plus longtemps, qu'avons nous fait pour mérite cette guerre ? … ça peut te donner des idées !

 

Ma Chérie,

 

Je réunis mes dernières forces pour t’écrire une dernière lettre qui je l’espère te parviendra.  Je pense à nos deux fils qui, je l’espère, ne devront pas faire la guerre.  J’espère que cette guerre mondiale ne se renouvellera pas et qu’elle sera « la der des ders ».  Cette guerre qui endeuille ma tendre aimée et qui rend mes enfants orphelins est comme toutes les guerres, inutile et impitoyable.

 

Pendans des heures durant sous le sifflement des obus, j’ai retrouvé mon camarade Faucheux mort dans un cratère d’obus.  Mais je n’ai eu le temps de m’attrister car déjà cinq projectiles déchiraient mon ventre et les souffrances que je combats pour pouvoir t’écrire et mon sang coule sans cesse comme tant de sangs ont coulé pour cette guerre.  L’absurdité de la guerre oû je devais combattre des soldats avec lesquels nous avons célébé le Noel ensemble.  Car eux non plus ne comprennent pas le sens de la guerre.

 

Ma Chérie, ma bien aimée, je pense aux merveilleux moments que nous avons passé ensemble au chaud dans notre petite maison.  Je sais que tu as dû travailler dans les usines d’armement pour survivre et faire vivre nos deux fils, Lucien et Geoges. Nos merveilleux bambins si joyeux et studieux.

 

Le vent hurle si fort que je n’entends plus le sifllement des obus.  Dans quelques heures le jour va naître et moi je resterai dans les ténèbres inconnus et tant prometteurs d’après notre église. 

 

Pourquoi parler de cette guerre qui nous sépare, qui nous déchire, cette guerre décidée par les grands de ce monde tranquillement endormis dans leur lit douillet loint des sifflements des obus.  Ces grands de ce monde qui ont besoin de nous, simples soldats, et nous, nous n’avons pas besoin d’eux.

 

Je souffre certes physiquement mais je souffre de ne plus pouvoir être auprès de toi ma douce.  Je t’aime, embrasse les enfants

 

Ton mari