Sagot :
Réponse :
Hello, je te marque MES arguments ci-dessous, mais sache que tu ne dois pas recopier parce que j'ai peut-être une écriture qui n'est pas la tienne et ton professeur le saura ;) !
Inspire-toi de mes arguments, ça peut t'aider à développer ton propre avis, mais encore une fois surtout ne recopie pas, les profs ont l'habitude, il le verra tout de suite.
Explications :
Tout d'abord, la littérature à parfois, effectivement, vocation à dénoncer. On peut citer la célèbre lettre "J'accuse" d'Émile Zola sur l'affaire Dreyfus en 1898 qui défendait Dreyfus et dénonçait l'antisémitisme dont il a été victime. Cependant, la littérature ne se limite pas aux dénonciations, elle a parfois pour vocation d'aider, de divertir, de faire voyager.
Nombre de lecteurs, notamment des personnes âgées (et je l'ai personnellement constaté en faisant trois stages de suite dans une médiathèque pendant 3 mois), lisent pour se changer les idées et passer le temps. On peut citer ainsi des auteurs comme Virginie Grimaldi, Guillaume Musso, Franck Tilliez, Aurélie Valognes... qui chacun dans leur genre font s'évader des milliers de lecteurs sans avoir pour but de dénoncer quoi que ce soit, mais plutôt de faire rire, pleurer...
Certains auteurs comme Laurent Gounelle peuvent même nous aider à en apprendre plus sur nous-même par le biais de romans philosophiques. D'autres comme Grand Corps Malade veulent éduquer et informer sur certaines situations (son livre "Patient" nous expose la conditions des personnes handicapées en centres de réeducation).
Globalement, je dirai que la littérature PEUT dénoncer, mais ne DOIT pas nécessairement dénoncer.