Sagot :
Bonsoir,
Des arguments en faveur de l'opposition :
Les gens qui nous oppressent sont peu sensibles à la discussion, il vaut mieux s'opposer de manière frontale.
Qui veut la fin veut les moyens, les oppresseurs ne respectent que la force, pensons à Hitler.
Des arguments en défaveur de l'opposition :
La violence engendre souvent une plus grande violence, mieux vaut tenter la discussion et le dialogue.
Au lieu se s'épuiser dans une opposition aléatoire, ne vaut-il pas mieux tenter de trouver un compromis satisfaisant ?
Résister à ce que l'on ressent comme une pression ou une agression ne se fait pas exclusivement en s'opposant comme on peut le faire, par exemple, durant un conflit militaire ( attentats, attaques, sabotages... ).
En fait, le but poursuivi consiste à faire en sorte que cette " pression " ou cette " agression " qui nous insupporte disparaisse.
L'opposition frontale, voire violente écartée, il me faudra utiliser d'autres moyens.
Prenons un exemple.
Si l'un de mes enfants déclare se détendre en s'installant sur la terrasse avec sa musique style " rap " quasi au maximum et reste ainsi plusieurs heures couché sur un tapis avec son smartphone, je peux agir de manière " feutrée ".
Lorsque je sais qu'il va bientôt rentrer, je prends un siège de jardin et m'assieds sur la terrasse, ensuite, je diffuse à faible intensité une musique douce et entame la lecture d'un livre.
A l'arrivée de l'adolescent, je lui demande quelques nouvelles puis lui déclare combien cette détente dans le calme sur la terrasse m'a fait du bien.
Cette attitude pourrait, à la longue, l'amener à réfléchir sur le choix de sa musique et de la manière d'utiliser ses loisirs.
J'espère avoir pu t'aider.