Sagot :
De la violence faite aux femmes ; voilà la traduction .
Quand tu sens son regard glacé
Quand quelqu'un brise ton sourire de cristal
Et que ton doux visage de porcelaine se souvient de ses mains
Ses mains de métal.
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage
Quand tu sens son regard glacé
Quand quelqu'un brise ton sourire de cristal
Et que ton doux visage de porcelaine se souvient de ses mains
Ses mains de métal.
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage
Quatre printemps silencieux
Sens les épines qui s'enfoncent bien profond à l'intérieur
Où l'on souffre le plus
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes se sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage !
Vois, fuis, la vie se termine, les rêves se salissent,
Les minutes passent
Saute ! Que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui l'âme
Quand tu sens que plus rien ne l'étonne,
Que la pluie tombe fracassant la ville
Que les gouttes ne pénètrent pas ton âme
Ses barques dans tes yeux
Et que tes 'bras' ne pourront ramer
Rien ne vaut pour toi de pleurer
Les larmes se sèchent
Tu sens ?
Brise ta cage oui
Vois, fuis, la vie te termine, les rêves se gâchent,
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Ton âme meurt
Oui l'âme
Sens l'appel de la liberté
Romps les chaines qui te font pleurer
Tranche-les, avance et n'y pense plus,
Saute, ris, danse,
Et sens l'appel de la liberté
Romps les chaines qui te font pleurer
Tranche-les, avance et n'y pense plus,
Saute, ris, danse !
Fuis, la vie se termine, les rêves se gâchent
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui ! Fuis la vie se termine, les rêves se gâchent,
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui l'âme
Fuis la vie se termine, les rêves se gâchent, les
Minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et te
Brise l'âme.
L'âme... L'âme...
Quand tu sens son regard glacé
Quand quelqu'un brise ton sourire de cristal
Et que ton doux visage de porcelaine se souvient de ses mains
Ses mains de métal.
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage
Quand tu sens son regard glacé
Quand quelqu'un brise ton sourire de cristal
Et que ton doux visage de porcelaine se souvient de ses mains
Ses mains de métal.
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage
Quatre printemps silencieux
Sens les épines qui s'enfoncent bien profond à l'intérieur
Où l'on souffre le plus
C'est l'heure de commencer à marcher
Que les larmes se sèchent
C'est l'heure de commencer à marcher
Brise ta cage !
Vois, fuis, la vie se termine, les rêves se salissent,
Les minutes passent
Saute ! Que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui l'âme
Quand tu sens que plus rien ne l'étonne,
Que la pluie tombe fracassant la ville
Que les gouttes ne pénètrent pas ton âme
Ses barques dans tes yeux
Et que tes 'bras' ne pourront ramer
Rien ne vaut pour toi de pleurer
Les larmes se sèchent
Tu sens ?
Brise ta cage oui
Vois, fuis, la vie te termine, les rêves se gâchent,
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Ton âme meurt
Oui l'âme
Sens l'appel de la liberté
Romps les chaines qui te font pleurer
Tranche-les, avance et n'y pense plus,
Saute, ris, danse,
Et sens l'appel de la liberté
Romps les chaines qui te font pleurer
Tranche-les, avance et n'y pense plus,
Saute, ris, danse !
Fuis, la vie se termine, les rêves se gâchent
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui ! Fuis la vie se termine, les rêves se gâchent,
Les minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et
Te brise l'âme
Oui l'âme
Fuis la vie se termine, les rêves se gâchent, les
Minutes passent,
Saute que le calme t'embrasse, le temps passe et te
Brise l'âme.
L'âme... L'âme...
La musique de Huecco : "Se acabaron la lagrimas" raconte : La violence que les femmes subissent