Sagot :
Réponse : voilà ce que j’ai inventé de moi même. J’espère que ça va t’aider j’ai fait ça en 1 h.On dirai plutôt une poésie. Dis le moi si t’aime pas, je peux trouver autre chose…. C un peu long. Tu peux le modifier…
Bon courage !!!
:Dans une lointaine forêt
Vivent un Renard et ses compères.
De la ruse il est l’expert
Et tout le monde le reconnaît.
Malin, futé et adroit,
Tous ses amis l’admirent.
Comme il est habile, fourbe et sournois, Ses ennemis craignent le pire.
Un jour arrive de nulle part
Un Paon, au plumage chatoyant.
Son habit de couleur, bienséant,
Fait tourner tous les regards. Orgueilleux et suffisant,
Il part à la rencontre du Goupil.
Et sur un ton méprisant
S’exprime le prétentieux volatile :
« Du fin fond de ma contrée
M’est parvenue ta renommée.
Je suis ici pour vérifier
Mais je ne suis pas impressionné.
Moi, je suis fin et distingué,
Subtil et sophistiqué,
Et tu n’es pas à la hauteur
De mon style ni de ma grandeur.
Si tu es clairvoyant et perspicace, Comme le prétendent les gens en face, Il faut bien que tu admettes Qu’aujourd’hui, c’est moi la vedette ! »
Le Renard fort vexé
Se dit d’un ton agacé :
« Quelle est cette volaille
Qui se moque de moi ?
Une vulgaire canaille ?
Moi qui, d’ici, suis le roi !
Cet oiseau de malheur
Est sûrement un menteur,
Et je veux le prouver
Devant toute l’assemblée.
Il pense avoir gagné ?
Rira bien qui rira le dernier ! »
Il prend son appareil photo Légué de père en fils.
Pour coincer le zigoto
Et dénoncer la malice, Equipé de son objectif,
Il passe en mode furtif :
Nuit et jour, il l’épie,
Les yeux rivés sur le viseur, La main collée au déclencheur, Comme son ombre, il le suit.
Un jour, il n’en croit pas ses yeux : Que peut-il arriver de mieux ?
Le Paon retire son costume,
Met de côté ses somptueuses plumes, Et dévoile sa vraie nature...
Une dinde laide ! Quelle imposture !
L’animal futé ne perd pas de temps pour Immortaliser le chenapan.
Et pour faire de beaux clichés,
Il le prend de tous côtés.
Le Renard se presse vers le Paon Et convoque toute la forêt.
Il s’adresse au sacripant
Sur un ton très enjoué :
« Tu penses prendre ma place !
Tu prétends avoir de la classe ! Mais ton secret est dévoilé :
Tu n’es qu’une dinde sans intérêt ! Et les photos que j’ai ici
Prouvent la supercherie.
Tu cries trop tôt victoire,
Mais tu es le perdant ce soir ! »
Il ne faut pas sous-estimer
Les efforts d’un moqué.
Car pour avoir sa vengeance,
Il peut faire preuve de patience !