Réponse :
a) 1. Les conquêtes sont aisées à faire, parce qu'on les fait avec toutes ses forces ; elles sont difficiles à conserver, parce qu'on ne les défend qu'avec une partie de ses forces. (Montesquieu)
Deux subordonnées circonstancielles de cause
2. Etant fille de deux êtres d'une beauté parfaite, j'aurais dû ne pas dégénérer, et ma pauvre mère, qui estimait la beauté plus que tout, m'en faisait souvent de naïfs reproches. (Sand)
Le participe présent, subordonnée relative
b) 1. On fait les conquêtes avec toutes ses forces, elles sont donc faciles à faire.On ne les défend qu'avec une partie de ses forces si bien qu'elles sont difficiles à conserver,
2/ J'étais fille de deux êtres d'une beauté parfaite alors j'aurais dû ne pas dégénérer, ma pauvre mère estimait la beauté plus que tout si bien qu'elle m'en faisait souvent de naïfs reproches