Bonjour j'aurais besoin d'aide pour faire mon devoir de français. Merci d'avance.

6. «Bien sûr, un livre peut te changer! Et même changer ta vie. Comme un coup de foudre. Et on ne peut pas savoir quand la rencontre aura lieu. Il faut se méfier des livres, ce sont des génies endormis. »
a) Quelles sont les fonctions grammaticales de « un livre » et « des livres » ?
b). Quelle est la fonction grammaticale du groupe nominal « des génies endormis » ? Justifiez votre réponse.
c) Quelle relation logique existe-t-il entre les deux propositions de la dernière phrase ? Réécrivez la phrase en insérant un mot marquant cette relation logique.

7. Justifiez l'emploi de l'imparfait dans le dernier paragraphe. Relevez des exemples pour appuyer votre réponse.

8. «Nous discutions pendant des heures des livres qu'elle mettait entre mes mains. Je découvrais que je pouvais lui parler d'une infinité de choses tapies au fond de moi et que j'ignorais. » (I. 56 à 59)
a) Relevez la proposition subordonnée introduite par chacun des mots subordonnants soulignés. Indiquez la nature de chacune de ces propositions.
b). Expliquez comment vous avez pu identifier chacune de ces propositions.

9. Ce soir-là, avant d'aller au lit, j'ai emprunté une lampe torche dans un des tiroirs du secrétaire de Papa. [...] je sentais l'air du large et le vent pousser la voile de mes draps.» (I. 16 à 25) Réécrivez ce passage en mettant au passé simple les verbes conjugués et en passant de la 15 personne du singulier à la 1re personne du pluriel.

b) des génies endormis : attribut du sujet "ce" ( ce = "des livres" donc le verbe "être" est au pluriel et "génies endormis" qualifient le sujet "ce" )

c) "Il faut se méfier des livres, ce sont des génies endormis. ": : les deux propositions sont reliées par un signe de ponctuation ( ici la virgule) . Elles sont donc juxtaposées . La 2e proposition exprime la cause de la proposition précédente .

- Il faut se méfier des livres car ce sont des génies endormis

7. l'imparfait ici exprime des actions secondaires "je n'allais plus", "nous nous asseyions" ...

8. «Nous discutions pendant des heures des livres qu'elle mettait entre mes mains. Je découvrais que je pouvais lui parler d'une infinité de choses tapies au fond de moi et que j'ignorais. »

- en gras : les propositions subordonnées .

- qu'elle mettait entre mes mains ; prop subordonnée relative, introduite par le pronom relatif "qu' ", a pour antécédent le nom "livres"

- que je pouvais lui parler d'une infinité de choses tapies au fond de moi : prop sub conjonctive, introduite par la conjonction "que", COD du verbe "découvrais"

- et que j'ignorais : prop sub relative introduite par le pronom relatif "que", a pour antécédent le groupe nominal " choses tapies "

J'ai pu identifier ces propositions grâce aux mots subordonnants .

9. Ce soir-là, avant d'aller au lit, nous empruntâmes une lampe torche dans un des tiroirs du secrétaire de Papa. [...] nous sentîmes l'air du large et le vent pousser la voile de nos draps

Sagot :

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