Sagot :
Réponse :
Le temps qui passe est souvent comparé à l'eau qui coule, toujours, sans s'arrêter et toujours nouvelle. Ici s'ajoute l'idée de la roue du moulin à eau qui tourne et fascine celui qui regarde. En effet le temps passe et nous n'y pouvons rien, emportant nos joies et nos peines. Les adultes le savent. Il suffit de relire le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire.
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure