Sagot :
Cher vous qui me lisez,
Nous avons été emmenés à la guerre et sommes installés dans les tranchées, ces dernières ont une profondeur de 3 mètres. Elles ne sont jamais en ligne droite mais sont creusées en zigzag pour éviter les tirs en enfilade et réduire les effets d'un obus tombant dans la tranchée. Cela signifie que l'on ne peut pas voir à plus de 9 m. Je suis apeuré et triste d'être loin de ceux que j'aime. J'ai les jambes qui tremblent à l'idée de mourir et de ne jamais revoir les miens. Cependant je jure que je me battrais sans répit pour ceux qui y ont laissé leur vie. Je me suis fait un ami, Jean-Luc, il m'aide à garder le moral.
(tu peux dessiner un schéma de tranchée pour illustrer)
Les conditions sont plus qu'insoutenables. Outre le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l'absence d'hygiène, notre ennemi le plus redoutable est la pluie, qui transforme les tranchées en fondrières malgré les caillebotis qui en garnissent le fond. Le bruit permanent des mitrailleuses et des obus nous empêche nous reposer ; de plus que nous dormons à même le sol.
(caillebotis = plancher utiliser dans les endroits humides)
(tu peux dessiner des rats)
Ce matin, vers 6h, on a reçu l'ordre de lancer une offensive sur la tranchée ennemie à un peu plus d'un kilomètre. Pour arriver là-bas, c'est le parcours du combattant, il faut éviter les obus, les balles allemandes et les barbelés. J'ai vu mon camarade Jean-Luc tombé sous une pluie d'obus, il ne s'en est pas sorti... j'ai assisté à une scène sanglante et j'ai vu mon ami mourir sous mes yeux. Les images cauchemardesques de cet assaut me laisseront à jamais un traumatisme dont je pense ne jamais me remettre.
(dessine une scène avec une pluie d'obus et du sang partout)
Nous avons été emmenés à la guerre et sommes installés dans les tranchées, ces dernières ont une profondeur de 3 mètres. Elles ne sont jamais en ligne droite mais sont creusées en zigzag pour éviter les tirs en enfilade et réduire les effets d'un obus tombant dans la tranchée. Cela signifie que l'on ne peut pas voir à plus de 9 m. Je suis apeuré et triste d'être loin de ceux que j'aime. J'ai les jambes qui tremblent à l'idée de mourir et de ne jamais revoir les miens. Cependant je jure que je me battrais sans répit pour ceux qui y ont laissé leur vie. Je me suis fait un ami, Jean-Luc, il m'aide à garder le moral.
(tu peux dessiner un schéma de tranchée pour illustrer)
Les conditions sont plus qu'insoutenables. Outre le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l'absence d'hygiène, notre ennemi le plus redoutable est la pluie, qui transforme les tranchées en fondrières malgré les caillebotis qui en garnissent le fond. Le bruit permanent des mitrailleuses et des obus nous empêche nous reposer ; de plus que nous dormons à même le sol.
(caillebotis = plancher utiliser dans les endroits humides)
(tu peux dessiner des rats)
Ce matin, vers 6h, on a reçu l'ordre de lancer une offensive sur la tranchée ennemie à un peu plus d'un kilomètre. Pour arriver là-bas, c'est le parcours du combattant, il faut éviter les obus, les balles allemandes et les barbelés. J'ai vu mon camarade Jean-Luc tombé sous une pluie d'obus, il ne s'en est pas sorti... j'ai assisté à une scène sanglante et j'ai vu mon ami mourir sous mes yeux. Les images cauchemardesques de cet assaut me laisseront à jamais un traumatisme dont je pense ne jamais me remettre.
(dessine une scène avec une pluie d'obus et du sang partout)