Sagot :
Bonjour !
Je te propose ci-dessous un texte suivant ta consigne :
La libération des camps de concentration et des centres de mises à mort par les Alliés
Avec les avancées, à l'est, de l'Armée Rouge, et à l'Ouest, des troupes américaines et anglaises, les camps de concentration, et l'horreur qu'ils renferment, risquent d'être découverts.
Le Furhër, conscient de cet inconvénient, tente de faire déplacer les prisonniers et ordonne aux unités SS d'effacer toutes les traces compromettantes ; heureusement, les armées alliées avancent trop rapidement pour laisser aux nazis le temps de s'organiser ; le camp d'Ohrdruf, une annexe de Buchenwald, est prise.
C'est un correspondant de guerre et un photographe de l'AFP qui lèvent, de force, toutes les censures qui pesaient sur les camps déjà libérés, par les horribles images dévoilées au monde entier.
Le camp de Voves, lui, n'est pas un camp d'extermination. Il a surtout servi au gouvernement de Vichy pour faire interner des militants communistes ou repris de justice, et transiter d'autres prisonniers en attendant leur transfert vers d'autres camps.
À la suite de l'évasion du 19 février 1944, qui est la 21e depuis l'ouverture du camp, une unité SS force la plupart des prisonniers à rejoindre le "convoi des 45 000", qui se dirigeait vers Auschiwtz-Birkenau. La majorité n'en est pas revenue.
Aujourd'hui, le camp est classé en tant que monument historique, et est entretenu par un Comité du souvenir.