Sagot :
Je me montre jaloux de déchaîner son rire, surtout quand je prends assez d'âge
pour voir grandir d'année en année, sur mon visage, le souci du lendemain, une sorte de détresse
qui m’assombrît, lorsque je songe à mon destin d’enfant sans fortune, à ma santé menacée,
à la vieillesse qui ralentissait les pas une seule jambe et deux béquilles - de mon compagnon chéri.
Colette, « Le rire » (in La Maison de Claudine, 1922)
-
J’espère t’avoir aidé :-)
pour voir grandir d'année en année, sur mon visage, le souci du lendemain, une sorte de détresse
qui m’assombrît, lorsque je songe à mon destin d’enfant sans fortune, à ma santé menacée,
à la vieillesse qui ralentissait les pas une seule jambe et deux béquilles - de mon compagnon chéri.
Colette, « Le rire » (in La Maison de Claudine, 1922)
-
J’espère t’avoir aidé :-)
Réponse :
Je me montrait jaloux de déchaîner son rire, surtout quand je pris assez d'âge pour voir grandir d'année en année, sur son visage, le souci du lendemain, une sorte de détresse qui l'assombrissait, lorsqu'elle songeait à notre destin enfin sans fortune, à sa santé menacée, à la vieillesse qui ralentissait les pas une seule jambe deux béquilles-de son compagnon chéri.
Oyasumi ! :) (bonne nuit en japonais)