Sagot :
Salut !
Pour la réécrire numéro 3 il s’agit, sauf erreur de ma part, de : « Il lui jettera sur les épaules les vêtements qu’il aura apporté pour la sortie, vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurera avec l’élégance de la toilette de bal. Elle le sentira et voudra s’enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui envelopperont de riches fourrures. »
Concernant la réécriture numéro 4 si je ne me trompe pas il s’agit de :
« Lorsque je fus dans la rue, je ne trouvai pas de voiture, et je me mis à chercher, criant après les rochers que je vis passer au loin. Je descendis vers le Seine, désespéré(e), grelotant. Enfin, je trouvai sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu’on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme si j’eus honteux de ma misère pendant le jour. »
J’espère que ça t’aide !
Pour la réécrire numéro 3 il s’agit, sauf erreur de ma part, de : « Il lui jettera sur les épaules les vêtements qu’il aura apporté pour la sortie, vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurera avec l’élégance de la toilette de bal. Elle le sentira et voudra s’enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui envelopperont de riches fourrures. »
Concernant la réécriture numéro 4 si je ne me trompe pas il s’agit de :
« Lorsque je fus dans la rue, je ne trouvai pas de voiture, et je me mis à chercher, criant après les rochers que je vis passer au loin. Je descendis vers le Seine, désespéré(e), grelotant. Enfin, je trouvai sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu’on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme si j’eus honteux de ma misère pendant le jour. »
J’espère que ça t’aide !