Sagot :
salut! tiens voici ce que tu voulais bien sur j'ai rajouter un peu plus qu'il le fallait mais au moins tu comprendras mieux :)
Depuis les années 1970, l’économie française connaît des mutations. Nous allons donc voir
quelles sont ces mutations et nous verrons quelles en sont les conséquences pour les espaces productifs
français.
Aujourd’hui, l’économie française est une économie tertiarisée. Cette à dire que près de 78% de
la population française travaille dans le secteur des services, qui a lui seul produit 80% de la richesse du
pays. Les secteurs agricoles et industriels connaissent un déclin et donc une restructuration. L’intégration
européenne et la mondialisation ont accéléré la transformation des espaces productifs français. Les
entreprises ont dû se moderniser pour améliorer leur productivité et parfois se délocaliser à l’étranger.
Pour être compétitives, les entreprises recherchent un ensemble de conditions favorables : l’accessibilité
(autoroutes, aéroports, voies ferrés), la présence d’aménités (le soleil et la mer par exemple) et une main
d’œuvre qualifiée.
Elles peuvent aussi profiter d’un environnement porteur lorsqu’elles s’installent près des centres de
recherches performants (pôle de compétitivité, tel que Toulouse pour l’aéronautique) qui stimulent
l’innovation.
Les métropoles, Paris en tête, concentrent une part toujours plus grande des espaces productifs et
organisent les territoires sous influences.
Ainsi, celles du Sud et de l’Ouest commandent de grandes régions productives dynamiques (innovation
industrielle, agriculture productiviste, tourisme) très intégrées à la mondialisation.
D’autres espaces sont moins dynamiques : les bastions industriels d’autrefois (Nord et Est de la France)
ont souffert de la concurrence internationale et peine à se reconvertir (friche industrielle).