Sagot :
1) Le bacille de Calmette et Guérin ainsi que le bacille de Koch ont été injectées au cobaye B. Il a survécu à l’injection de la bacille de Koch car lorsqu’on a injecté la BCG, les lymphocytes T du cobaye B ont produit des anticorps contre la BK.
2) On a injecté les anticorps du cobaye B au cobaye C. On a injecté les lymphocytes T au cobaye D.
Après injection du bacille de Koch, Le cobaye C est mort alors que le cobaye D a survécu.
3) Les anticorps ne suffisent pas pour assurer la protection contre le bacille de Koch : Le cobaye C est mort alors qu’il avait les anticorps du cobaye B tandis que le cobaye D a survécu avec la possession des lymphocytes T du cobaye B.
Les lymphocytes T permettent de produire des anticorps en quantité suffisante contre le BK.
2) On a injecté les anticorps du cobaye B au cobaye C. On a injecté les lymphocytes T au cobaye D.
Après injection du bacille de Koch, Le cobaye C est mort alors que le cobaye D a survécu.
3) Les anticorps ne suffisent pas pour assurer la protection contre le bacille de Koch : Le cobaye C est mort alors qu’il avait les anticorps du cobaye B tandis que le cobaye D a survécu avec la possession des lymphocytes T du cobaye B.
Les lymphocytes T permettent de produire des anticorps en quantité suffisante contre le BK.