Sagot :
Réponse :
Ce jour la, il s'apprêtais à ramener pour la première fois son fils vers l'école depuis la mort de sa défunt femme, son fils qui n'en savais rien avançait innocent et ignorant de la dur vérité. En rentrant dans l'école certaines surveillantes échangeaient des regards de compati avec le père et de pitié avec l'enfant, en se dirigeant vers la gare après avoir déposer son fils, il entendit une voie si basse mais si douce qu'il n'y preta pas beaucoup d'attention. dans son bureau il repansa a cette voix aussi douce qu'une comptine, mais il n'arrivait pas à relever ces paroles. en fin de journée il récupéra son fils pour rentrer chez lui qui ne faisait que de répéter les même parole "Papa, Maman elle reviens quand ? " toujours suivis d'un " bientôt " mensonger. les jour suivit et la douce voix de la gare était de plus en plus forte. Du côté de son fils, c'était bien plus compliquer, est se que l'ont peut résumer une enfance en bonheur et joie sans mère ? Pouvons nous seulement appeler sa une enfance ? Pour combler se manque, son père lui offrais le plus de cadeaux possible, mais sa ne suffisait pas, ronger par la tristesse le père ne se rendit plus à son bureau et ne sortait que pour accompagner son fils, mais avec le temp, un matin la voix qui jusqu'à la rester dans la gare était devenu tellement forte qu'il entendait depuis chez lui, et tout à coup il se rendit compte que c'était la voix de sa femme qui répétais sans arrêt " rejoint moi " ! poussez d'un élan il posa son fils sur ces épaule et couru jusqu'à l'école de sont fils et le posa pour une énième fois au pied de Mme Bufferand et continuas sa course vers la gare ou la voix était la plus forte, sur les rail du train il vu une sorte de spectre de sa femme, il sauta et se fis violement poussez, en se revaillent dans un lit d'hopital il cru voir sa femme qui était en fait sont fils en larme.