Sagot :
Coucou, si il n’ya pas de temps particuliers imposés, voici mon texte:
Le soleil commençait doucement à se coucher et je m’acharnais sur un boss level 35 avec mon ami Mathis. J’étais sur le point de l’éliminer et d’ainsi gagner la partie, mais j’avais oublié de couper le son de mon téléphone. Mon père ouvrit la porte d’un coup brusque et se précipita sur moi:
« George ! Tu joues encore sur ton téléphone à cette heure-ci alors que tu n’as même pas mangé ?, s’énerva-t-il.
- Mais papa, j’ai fait mes devoirs comme tu me l’as demandé, j’ai bien le droit à une pause non?, m’offusquai-je.
- Figure-toi que j’ai reçu ton bulletin par la poste et que j’y ai jeté un coup d’oeil avec ta mère, as tu quelque chose à nous dire?»
Je sentis mes joues s’enpourprer de honte. Il faut savoir que mon père occupait le rôle d’un professeur à un collège non loin du mien, il s’attendait donc à ce qu’il puisse être fier de moi, de son fils tant chéri depuis petit. Mais non, pour moi, les jeux vidéos étaient ma manière de m’évader du monde ignoble où je fus né.
« Papa..., commençais-je.
- Il n’y a pas de papa qui tienne. Tes parents ont travaillé dur pour te loger et te nourrir comme il se doit et comment tu les remercies? En leur faisant honte., cracha mon père sur moi d’une manière si brutale que j’en perdis presque mon téléphone.
- Mais j’ai travaillé, et tu l’as vu !
- Non, par contre je t’ai bien vu jouer sur ton foutu téléphone jusqu’à des heures impossibles. Tu ne pourrais pas prendre exemple sur ta grande sœur, elle qui a toujours des bonnes notes et qui travaille durement chaque soir?, proposa mon père.
- Eh bien elle rate bien des choses..., rétorquai-je en désignant mon jeu mobile.
- En parlant de rater des choses, passe moi ton téléphone.
- Quoi mais pourquoi ?!», dis-je sur la défensive( mon téléphone était pour moi un objet de valeur inestimable)
Sans même me répondre, il s’empara de mon bonheur en un claquement de doigt:
« Je te le garde pendant quelques temps, en attendant que tu te mettes "réellement" au travail», puis il quitta ma chambre, sans me laisser finir mon deuil.
Ainsi en décida le roi, ainsi il se dû.
Voilà j’espère t’avoir aider
Le soleil commençait doucement à se coucher et je m’acharnais sur un boss level 35 avec mon ami Mathis. J’étais sur le point de l’éliminer et d’ainsi gagner la partie, mais j’avais oublié de couper le son de mon téléphone. Mon père ouvrit la porte d’un coup brusque et se précipita sur moi:
« George ! Tu joues encore sur ton téléphone à cette heure-ci alors que tu n’as même pas mangé ?, s’énerva-t-il.
- Mais papa, j’ai fait mes devoirs comme tu me l’as demandé, j’ai bien le droit à une pause non?, m’offusquai-je.
- Figure-toi que j’ai reçu ton bulletin par la poste et que j’y ai jeté un coup d’oeil avec ta mère, as tu quelque chose à nous dire?»
Je sentis mes joues s’enpourprer de honte. Il faut savoir que mon père occupait le rôle d’un professeur à un collège non loin du mien, il s’attendait donc à ce qu’il puisse être fier de moi, de son fils tant chéri depuis petit. Mais non, pour moi, les jeux vidéos étaient ma manière de m’évader du monde ignoble où je fus né.
« Papa..., commençais-je.
- Il n’y a pas de papa qui tienne. Tes parents ont travaillé dur pour te loger et te nourrir comme il se doit et comment tu les remercies? En leur faisant honte., cracha mon père sur moi d’une manière si brutale que j’en perdis presque mon téléphone.
- Mais j’ai travaillé, et tu l’as vu !
- Non, par contre je t’ai bien vu jouer sur ton foutu téléphone jusqu’à des heures impossibles. Tu ne pourrais pas prendre exemple sur ta grande sœur, elle qui a toujours des bonnes notes et qui travaille durement chaque soir?, proposa mon père.
- Eh bien elle rate bien des choses..., rétorquai-je en désignant mon jeu mobile.
- En parlant de rater des choses, passe moi ton téléphone.
- Quoi mais pourquoi ?!», dis-je sur la défensive( mon téléphone était pour moi un objet de valeur inestimable)
Sans même me répondre, il s’empara de mon bonheur en un claquement de doigt:
« Je te le garde pendant quelques temps, en attendant que tu te mettes "réellement" au travail», puis il quitta ma chambre, sans me laisser finir mon deuil.
Ainsi en décida le roi, ainsi il se dû.
Voilà j’espère t’avoir aider