Sagot :
Réponse :
bonjour
Explications :
Ils en oubliaient même l'heure, courant de la plage à la mer, séchant sur le sable, l'eau salée qui les faisait visqueux, puis lavant dans la mer le sable qui les habillait de gris.
Ils courraient, et les martinets avec des cris rapides commençaient de voler plus au-dessus des fabriques et de la plage. Le ciel, vidé de l' étouffeur du jour, devenait plus pur puis verdissait, la lumière se détendait et, de l'autre coté du golfe, la courbe des maisons et de la ville, noyée jusque-là dans une sorte de brume, devenait plus distincte. Il faisait encore jour, mais des lampes s'allumaient déjà en prévision du rapide crépuscule d'Afrique, Pierre, généralement, était le premier à donner le signal : « Il est tard», et aussitôt, c' était la débandade, l'adieu rapide. Jacques avec Joseph et Jean courraient vers leur maison sans se soucier des autres. Ils galopaient hors de souffle.
Bonjour, j'ai corrigé, j'espère n'avoir rien loupé.
Ils en oubliaient même l'heure, courant de la plage à la mer, séchant sur le sable l'eau salée qui les faisait visqueux, puis lavant dans la mer le sable qui les habillait de gris.
Ils couraient et les martinets avec des cris rapides commençaient de voler plus au-dessus des fabriques et de la plage. Le ciel, vidé de la touffeur du jour, devenait plus pur puis verdissait, la lumière se détendait et, de l'autre côté du golfe, la courbe des maisons et de la ville, noyée jusque-là dans une sorte de brume, devenait plus distincte. Il faisait encore jour, mais des lampes s'allumaient déjà en prévision du rapide crépuscule d'Afrique. Pierre, généralement, était le premier à donner le signal : « Il est tard», et aussitôt, c'était la débandade, l'adieu rapide. Jacques avec Joseph et Jean couraient vers leurs maisons sans se soucier des autres. Ils galopaient hors de souffle.