Sagot :
Napoleon dresse la patte pour réclamer le silence et fait savoir que toutes dispositions sont déjà prises, il n’y a pas lieu pour les animaux d’entrer en relation avec les humains ce qui manifestement est on ne peut plus mal venu. De ce fardeau il se charge lui même. Un certain Mr.Whymper, avoué a Willingdon, a accepté de servir d’intermédiaire entre la ferme des animaux et le monde extérieur et chaque lundi matin il vient prendre les directives. Napoleon termine son discours de façon coutumière, s’écrit « Vive la ferme des animaux! » Et après avoir entonné bêtes d’angleterre on rompt les rangs