Sagot :
La rempailleuse: Une misérable rempailleuse se prive toute sa vie pour laisser un héritage au pharmacien qu'elle aime en secret ; un couple de bourgeois sans enfant "achète" le fils d'une famille de paysans ; une famille attend une vie durant le retour d'un oncle parti faire fortune en Amérique ; un couple de citadins se déchire autour d'un parapluie ; un autre vit dans la misère pendant dix ans pour rembourser une parure perdue...
Aux champs: Dans la campagne, en Normandie, vivent misérablement deux familles paysannes voisines, les Tuvache (3 filles et 1 garçon) et les Vallin (3 garçons et 1 fille). M. et Mme d'Hubières, qui n'ont pas d'enfant, passent par là et font une halte. La femme trouve le fils Tuvache mignon et décide de l'adopter contre de l'argent. La mère de ce dernier refuse car elle veut garder cet unique fils et parce qu'on ne vend pas un enfant. Finalement, les d'Hubières vont adopter l'un des fils de la famille Vallin pour 120 francs par mois. La famille Tuvache va continuer à vivre dans la misère, tandis que la famille Vallin va vivre correctement. Vingt ans plus tard, le fils Vallin, riche, revient voir sa famille, ils fêtent son retour parmi eux. Le fils Tuvache, qui n'a pas été adopté reproche à ses parents de ne pas avoir été vendu à la famille d'Hubières, puis part dans la nuit.
Mon Oncle Jules: L'auteur Guy de Maupassant nous présente d'un style courant une famille pauvre composée de 6 personnes : le père travailleur, restant inactif devant le reproche et l'ironie de sa femme ; la mère, se plaignant toujours du niveau de la vie quotidienne ; les deux filles, économisant sur les provisions ainsi que les vêtements ; Josephe, pas gâté, mais savant réfléchir sur la société hiérarchisée et la relation humaine ; l'oncle Jules, ayant doubles faces morales: avant le départ pour l'Amérique, terreur de la famille, cependant après avoir réussi son commerce, en étant devenu l'espoir, ce qui est pour objectif de critiquer la réalité sociale de cette époque-là.»
Le parapluie: ??
La parure: Mathilde Loisel rêve d'une grande vie. Son mari travaille au ministère de l'Instruction publique et le ménage n'est pas riche. Un jour, l'opportunité se présente de participer à une réception mondaine. M. Loisel accepte de dépenser ses économies pour que sa femme achète une tenue adéquate. Celle-ci veut encore un bijou, pour ne pas sembler pauvre au milieu des dames élégantes. Son amie, Mme Forestier, lui prête une rivière de diamants. Ainsi parée, Mme Loisel obtient un vif succès, le soir venu.
En rentrant, elle perd le bijou. Son mari le cherche en vain. Pour le remplacer avant d'être accusé de vol, le couple emprunte beaucoup d'argent et achète une autre rivière de diamants. Mme Forestier ne s'aperçoit de rien. Dès lors, les Loisel s'infligent les pires privations pour rembourser les créanciers.
Mathilde est devenue une véritable femme du peuple lorsqu'elle rencontre à nouveau Mme Forestier, dix ans plus tard. Quand elle s'est fait reconnaître, elle lui explique la perte du bijou et parle des dettes qui viennent enfin d'être remboursées. Mme Forestier, très émue, avoue à son ancienne amie que la rivière de diamants était une fausse.
Aux champs: Dans la campagne, en Normandie, vivent misérablement deux familles paysannes voisines, les Tuvache (3 filles et 1 garçon) et les Vallin (3 garçons et 1 fille). M. et Mme d'Hubières, qui n'ont pas d'enfant, passent par là et font une halte. La femme trouve le fils Tuvache mignon et décide de l'adopter contre de l'argent. La mère de ce dernier refuse car elle veut garder cet unique fils et parce qu'on ne vend pas un enfant. Finalement, les d'Hubières vont adopter l'un des fils de la famille Vallin pour 120 francs par mois. La famille Tuvache va continuer à vivre dans la misère, tandis que la famille Vallin va vivre correctement. Vingt ans plus tard, le fils Vallin, riche, revient voir sa famille, ils fêtent son retour parmi eux. Le fils Tuvache, qui n'a pas été adopté reproche à ses parents de ne pas avoir été vendu à la famille d'Hubières, puis part dans la nuit.
Mon Oncle Jules: L'auteur Guy de Maupassant nous présente d'un style courant une famille pauvre composée de 6 personnes : le père travailleur, restant inactif devant le reproche et l'ironie de sa femme ; la mère, se plaignant toujours du niveau de la vie quotidienne ; les deux filles, économisant sur les provisions ainsi que les vêtements ; Josephe, pas gâté, mais savant réfléchir sur la société hiérarchisée et la relation humaine ; l'oncle Jules, ayant doubles faces morales: avant le départ pour l'Amérique, terreur de la famille, cependant après avoir réussi son commerce, en étant devenu l'espoir, ce qui est pour objectif de critiquer la réalité sociale de cette époque-là.»
Le parapluie: ??
La parure: Mathilde Loisel rêve d'une grande vie. Son mari travaille au ministère de l'Instruction publique et le ménage n'est pas riche. Un jour, l'opportunité se présente de participer à une réception mondaine. M. Loisel accepte de dépenser ses économies pour que sa femme achète une tenue adéquate. Celle-ci veut encore un bijou, pour ne pas sembler pauvre au milieu des dames élégantes. Son amie, Mme Forestier, lui prête une rivière de diamants. Ainsi parée, Mme Loisel obtient un vif succès, le soir venu.
En rentrant, elle perd le bijou. Son mari le cherche en vain. Pour le remplacer avant d'être accusé de vol, le couple emprunte beaucoup d'argent et achète une autre rivière de diamants. Mme Forestier ne s'aperçoit de rien. Dès lors, les Loisel s'infligent les pires privations pour rembourser les créanciers.
Mathilde est devenue une véritable femme du peuple lorsqu'elle rencontre à nouveau Mme Forestier, dix ans plus tard. Quand elle s'est fait reconnaître, elle lui explique la perte du bijou et parle des dettes qui viennent enfin d'être remboursées. Mme Forestier, très émue, avoue à son ancienne amie que la rivière de diamants était une fausse.