Sagot :

Réponse :

slt j'espére que ma reponses ta plu

Explications :

A CHEVAL

Hector de Gribelin est un noble désargenté, luttant pour garder l'honneur malgré tout. Il se marie avec unefemme dans la même situation et a deux enfants avec elle. Un jour, il se voit attribuer une prime substantielle, et décide de l'employer pourpratiquer des activités "de noblesse", à savoir l'équitation. Vantant ses grands talents de cavalier, il hérite donc du cheval le pluscolérique, et ne parvient pas à le maîtriser. Celui-ci part en trombe dans les rues de Paris, et renverse accidentellement une vieille dame. Terrifié,Hector descend prendre de ses nouvelles et constate qu'elle n'a rien de cassé, mais souffre tout de même de lésions internes. Pour se fairepardonner et se faire respecter malgré cet incident, Hector accepte de payer ses soins, que le médecin n'estime pas à plus de 3 jours.Seulement, la vieille femme, bien que lucide, ne cherchera jamais à pouvoir à nouveau se mouvoir, heureuse dans l'immobilité et le luxe danslesquels elle est désormais installée. Clamant qu'elle ne peut plus marcher, et le clamant si fort, les médecins finissent par se résoudre àimaginer l'éventualité de la garder en maison de repos jusqu'à sa mort. Hector s'étant engagé à payer ses soins -au jour- se retrouve donc viteruiné et incapable de subvenir aux besoins de sa famille. Il en est finalement réduit à devoir l'accepter chez lui, au grand dam de sa femme.

UNE FAMILLE

Monsieur Caravan, modeste employé de bureau au ministère de la Marine, mène depuis trente ans une vie réglée comme du papier à musique, chaque soir dans le tramway qui le ramène à Courbevoie, il discute avec M. Chenet, un soi-disant médecin, une partie de domino, puis il rentre chez lui retrouver madame Caravan, ses deux enfants et sa mère de quatre-vingt-dix ans qui habite l’appartement au-dessus. Madame Caravan, femme laide, de vingt ans plus jeune que son mari, est la fille d’un collègue de travail, les époux passent leurs soirées à discuter des chances de promotions que Monsieur serait en droit d’espérer.

Ce soir, la mère de Monsieur ne descend pas manger la soupe familiale, on découvre qu’elle gît, inanimée, dans son salon, on court chercher Chenet qui conclut à la mort de la vieille dame. Tous redescendent finir le dîner, il s’agit de ne pas se laisser aller. D’ailleurs, on boit sec, et Caravan est rapidement ivre. Il sort raconter le malheur qui le frappe, mais il ne rencontre que de l’indifférence à peine polie.

De retour à la maison, il doit faire face à sa femme qui a déjà calculé qu’il fallait prévenir sa sœur du décès afon d'organiser les funérailles et l'héritage. Seulement, cela de doit pas se faire trop tôt pour avoir le temps de descendre chez eux certains effets et meubles de la défunte. Et pour ne pas perdre de temps, le couple déménage la même nuit la pendule et la commode, sous ordre de la femme Caravan. Le lendemain matin, M. Caravan fait les démarches administratives et commande les faire-parts. Les enfants, pour qui la mort est une nouveauté intéressante, font visiter la chambre mortuaire à leurs amis.

Le soir, pour le dîner, stupéfaction générale, la grand-mère descend pour la soupe. Elle est vivante et croise dans l’escalier sa fille et son gendre convoqué par le télégramme de Caravan. Les deux familles se disputent et les injures fusent.