Sagot :
Réponse :
Il est une faculté qu'il ne faudrait jamais perdre, c'est celle de l'émerveillement. dans la course effrénée des jours qui passent, on ne prend pas le temps de s'arrêter pour regarder. Les poètes nous rappellent qu'il existe des beautés qui charment le regard. Je pense à ce poème de Baudelaire :
— Eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
— J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages !
Les nuages me fascinent. Qu'ils soient chargés de pluie et menaçants ou effilochés les jours de soleil, ils dessinent un ciel changeant dont je ne lasse pas. Blancs , gris ou noirs, ils sont sur l'azur du ciel, des voyageurs insaisissables qui nous parlent d'un ailleurs qui fait rêver.
Explications :
Bonjour,
Les arcs en ciel m'ont toujours fasciné, ce pont immatériel entre 2 mondes, la terre et l'eau, comme j'aimerais l'emprunter, je serais le roi du monde.
Je reviendrais avec des vêtements multicolores que j'offrirais à tous les enfants du monde.
Le rouge, pour ceux qui voient tout en noir.
L'orange pour les enfants qui ont faim.
Le jaune pour les enfants malades privés de fleurs et de lumière .
Le vert pour les enfants du désert.
Le bleu pour les enfants tristes des pays en guerre .
L'indigo pour les enfants en guenilles.
Et le violet d'Arlequin pour faire rire tout le monde .
L'arc en ciel , nous dit qu'après l'orage, vient le beau temps.