Réponse :
1. Les deux textes ont le même thème : la vile de New York
2. Chacun présente la ville et l'impression qu'elle dégage de façon différente.
3. Le premier texte évoque une ville qui fait toujours la même impression de mystère et de beauté avec les mots "toujours, première fois, promesse, mystère".
Le second donne une impression d'entrelacement de lignes et de fouillis. "se croisent sans fin, grouillaient".
4. Le narrateur du premier texte est séduit et admiratif, le second plus critique.
5. Le premier texte semble voir les aspects positifs, il est mélioratif.
Le second est sensible à l'aspect négatif, il est péjoratif.
6. "telle qu'on la voit la première fois dans la première promesse". comparaison
"quand il s'aperçurent de la façon dont ces rues se croisent sans fin : temps
7. Le premier texte est au présent d'énonciation.
8. Le second utilise le passé simple (actions passées courtes, qui se succèdent) et l'imparfait (actions passées qui durent, de second plan)
Explications :
