Sagot :
Réponse :
Voilà ton texte ^^ :
Je suis seule dans cette vielle maison abandonnée. Quelle idée d’avoir bêtement crevé un pneu en pleine tempête dans cet endroit inquiétant ! J’entends du bruit dans la pièce voisine. On m’observe. Je le sens ! Je me dirige dans la pièce d’à côté, du peu que je vois, je devine que c'est la cuisine. Je regarde partout et tout d’un coup, je me fige. Un couteau avec du sang, non pas sec, mais frais. Un nouveau bruit vient du salon, la pièce où je suis rentrée avec une frousse que je n’ai jamais eue auparavant. Je m’arme du couteau taché de sang, il y a deux silhouettes, dans le salon, on dirait qu’elles parlent ! J’essaye de me rapprocher d’elles. Une des deux silhouettes tourne la tête vers moi, je me cache. C’est la chose la plus imprudente que j’ai jamais faite de ma vie ! J’écoute la conversation :
« -Tu dois le faire ! Dépêche-toi, sinon il sera trop tard !
- Non, je ne peux pas. Tu comprends très mal les choses, on ne peut pas tuer cette personne ! Elle n’a rien fait !
- Tant pis, je le ferai moi-même. »
Elles parlent de moi, elles veulent me tuer ! Pourquoi ? Je cours. L’une des silhouettes m’a repérée, elle court derrière moi ! Prise de peur, je m’écroule par terre. Je suis assommée.
1 ère fin :
Quelques heures plus tard, je me retrouve dans la position dans laquelle je me suis évanouie, dans la pièce où les silhouettes ont disparues. Je vais vers la cuisine, elles ont disparu, pourtant je suis sûre qu’elles étaient là ! Des grincements retentirent, les murs bougent ! Je ne rêve pas ! Des murs bougent ! J’essaye de retrouver l’entrée, donc la sortie pour moi. Où est-elle ? Je cours dans tout les sens, aucune sortie, aucune fenêtre ! Les silhouettes ont disparu, il ne reste plus que moi et cette maison, je dois dire, hantée. Je n’ai pas mon téléphone, il est resté dans la voiture, tout comme mon petit chien. Je ne reverrai pas le monde de dehors. Je suis perdue dans cette maison pour toujours. Je vis mourir ici, périr ici.
2ème fin :
Quelques heures plus tard, je me réveille. Je suis allongée et j’entends des « Bip, Bip, Bip, Bip » parmi les voix de tout à l’heure. Où suis-je ? Je n'en ai aucune idée ! J’ai terriblement mal, je suis attachée de partout, mains, chevilles, tête, ventre. Mais la douleur la plus atroce est celle de mon dos. Les voix se rapprochent, une porte s’ouvre. Deux personnes, une femme et un homme.
- Ne la tue pas !
- Mais non, je gère !
- Tu ne lui en prend qu’un seul !
Qu’est-ce qu’ils vont me faire ces deux-là ? Non, non, non ! C’est pas vrai ! Une autre douleur plus forte que celle d'auparavant surgit d’un coup. On dirait qu’on m’arrache un organe ! Je hurle, la douleur est terrible.
- Un seul, n'en prends qu’un seul ! Tu est en train de la tuer !
- Je fais ce que je veux, OK ?
-Non ! Non, ne fais pas ça !
« Bip, Bip, Bip, Biiiiiiiiiiiiiip ! »
_
J'ai modifié la grammaire de certaines phrases qui étaient fausses. J'espère que ça t'aides ! :)