Réponse :
1. Le titre peut laisser penser qu'il s'agit d'un crime d'ivrogne
2. Les deux premier vers montre un paradoxe : la femme est morte, il se sent libre. L'amour n'a donc pas duré.
"Ma femme est morte, je suis libre !
Je puis donc boire tout mon soûl.
"
3. A la mort de sa femme, le poète se sent libéré. "je suis libre !"
4. C'est lui qui l'a poussée au fond du puits.
"Je l’ai jetée au fond d’un puits,
Et j’ai même poussé sur elle
Tous les pavés de la margelle.
"
5. Il se souvient pourtant avoir été amoureux.
" L’air est pur, le ciel admirable…
Nous avions un été semblable
Lorsque j’en devins amoureux "
"elle était encore jolie / je l'aimais trop"
6. Il y a ambiguïté. On peut penser à un seul ivrogne stupide", au vin.
7. Versification : des strophes de 4 vers : des quatrains.
Un mètre régulier : des vers de 8 syllabes : des octosyllabes.
Des rimes embrassées selon le schéma abba
8. Une comparaison : "Et pour nous réconcilier
Comme au beau temps de notre ivresse,
"
Une métaphore : " Son cortège infernal d’alarmes,
"
"faire du vin un linceul ?"
Explications :