Vous arrivez dans une grande enseigne contemporaine au début d’une grande journée de soldes. Décrivez l’étalage des produits, les comportements des clients ?

C'est le début de la saison estivale, on dirait vraiment que la musique qui venait de différents magasins dansait avec le bourdonnement de la foule. Les buffets ouverts, remplis de personnes avec des enfants qui ne cessent de demander à leurs parents de leur acheter de la glace. Les femmes qui entrent dans tous les magasins sans regarder les prix avec les hommes qui sont condamnés `a porter les sacs de leur femme, sortaient de chaque magasins avec la frustration. De plus, avec les enfants qui essayaient de se débarrasser de leur poussette et les femmes qui s'évanouissaient, l'endroit est devenu de plus en plus insupportable comme l'enfer grâce à ces lumières rouges qui les épuisaient.

Pendant cette période de soldes, les taches de vendeurs sont plutôt montrer des indicateurs aux clients qui sont perdus dans cet bazar pour leur faire retrouver le chemin. Tandis que les autres essayaient de sauver la vie des t-shirt qui étaient en train d'écraser par des clients atrophiés.

Un peu plus loin, les gens revenaient avec les mains remplis de sacs de la même marque.Mais cette fois ,les portefeuilles étaient vides.

NIOGRET2M NIOGRET2M · Answer 2 · 2020-03-27T17:10:54+01:00

Réponse :

La presse avait diffusé largement l'information. Début des soldes le 2 janvier. La grande enseigne avait misé sur le mois du blanc et avait pendant le dernier week end, prévu des bacs immenses d' oreillers, de couettes, de draps, de taies. Le linge de maison aussi était de la fête et il y en avait de toutes les couleurs. Le mois du blanc avait depuis longtemps viré à l'arc en ciel. Quand, à 8h30, une voix charmante pria le bonjour aux clients, une file de consommateurs impatients piaffait derrière les caddies. Quand la grille se leva, ce fut la course, des caddies tamponnants, comme à la fête foraine. C'était à celui qui tomberait le premier dans les couettes ou les oreillers. Un caddy ne suffisait pas. La ménagère envoyait son mari en chercher un second. On se retrouverai, . mais on se retrouvait pas. le désordre s'organisait aux caisses où on s'impatientait déjà car on avait passé deux heures dans les rayons pour faire les meilleures affaires. La carte bleue allait chauffer.

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