Sagot :

La machine se trouvait devant moi, je n’avais qu’à y poser ma main et découvrir où elle m’emmènerait. Mais j’avais peur. Peur de ne pas m’en sortir, peur de ne plus pouvoir revenir. Pourtant je posai ma main sur l’aiguille qui me piqua. Et soudain, tout autour de moi devint blanc. Il n’y avait plus d’arbres, plus de champs, plus de personnes. Juste la machine et moi, au milieu du vide.

(Voilà j’ai fait un truc vite fait, tu peux remplacer la « machine » par un livre ou un truc comme ça c’est peut-être mieux)