Sagot :
Réponse :
Murée : métaphore
" Ensevelie, enfouie, murée : gradation
Froide comme la nuit : comparaison
Plus ... plus ... plus ... : énumération
Le soleil, le grand air, les rues : énumération
Poignard, sang, torture, gibet : gradation ascendante
Comme une vision chantante : comparaison
Comme un cauchemar difforme : comparaison
La veille du sommeil / le rêve de la réalité /le jour de la nuit : opposition, antithèse
Créature vivante : périphrase
Explications :
Réponse :
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Champ lexical de la souffrance morale et de la fatalité (mise à mort) car elle ne peut pas échapper à son destin et dirige droit vers sa mort
Beaucoup d’antithèses qui soulignent ses contradictions entre la situation qu’elle est en train de vivre, dans un cachot enfermée, et la situation qu’elle avait vécu, heureuse et libre.
Beaucoup d’anaphore : froide, plus, tantôt qui insistent sur son enfermement et qui évoque une prière
Elle est désignée « créature vivante » dans la dernière phrase comme une bête emprisonnée dans une cage
Verbes de pensée conjugués à l’imparfait de description qui décrit son mental car elle se remémore, pense, se contredit
Rythme ample avec des énumérations qui ajoute du solennel à la gravité de sa situation tragique
Allitération en « r » dans la seconde phrase qui font entendre les cris de sa détresse, un son dur
Bonne soirée !