Sagot :
Réponse :
Je ne savais pas si je devais changer les répliques ou non à ton avis ?
Explications :
La nourrice sorti la tête par la fenêtre à demi fermée et en regardant intensément Antigone, lui demanda "D'où viens-tu?" , Antigone fit un bon en arrière à l'instant ou le son de la voie était à son niveau dans ce début de journée hivernale déjà bien froide. Antigone répondit "De me promener, nourrice. C'était beau. Tout était gris. Mainten pas savoir, tout est déjà rose, jaune, vert. C'est devenu une carte postale. Il faut te lever plus tôt, nourrice, si tu veux voir un monde sans couleurs. Elle va passer" Antigone était sur un petit nuage, tout sembler être loin d'elle, inatteignable et pourtant si proche. Elle regarda maintenant la nourrice et sembla choqué de la voir si renfermé, son visage n'exprimait que de l'inquiétude et de la colère. La nourrice n'attendit pas la fin de la phrase d’Antigone et lui jeta d'un ton dure comme elle en a eu rarement l'occasion d'utiliser "Je me lève quand il fait encore noir, je vais à ta chambre pour voir si tu ne tes pas découverte en dormant et je ne te trouve plus dans ton lit! " Antigone repris son aire détaché et sans un regards lâcha d'une traite "Le jardin dormait encore. Je lai surpris, nourrice. Je lai vu sans qu'il sen doute. C'est beau, un jardin qui ne pense pas encore aux hommes. " tel une dernière danse, ces mots retomberents dans un tourbillon de feuilles envolés.