Sagot :
Réponse :
L’histoire se déroula le 17 juillet 1998 à Plonéour-Lanvern dans le pays Bigouden.
Un beau matin d’été, j’allais chez mon ami Paul. Paul était âgé d’une cinquantaine d’années, il était plutôt grand, mince, avec un visage émacié.
J’arrivai chez lui aux environs de onze heures. Tout était fermé.
Je frappai à la porte, mais personne ne répondit. Je pensai qu’il était parti faire ses courses, donc je repassai vers 12 heures. Mais rien à faire personne ne répondait. Je vis un voisin de Paul. Je lui demandai s’il avait vu Paul aujourd’hui, mais il me répondit que non. Alors je me décidai à faire le tour de la maison. Soudain je vis un carreau de cassé.
Je pénétrai dans la maison lorsque je vis Paul mort dans son fauteuil. Je me précipitai vers le téléphone pour appeler la gendarmerie.
En début d’après-midi, le médecin légiste de Pont-l’Abbé arriva sur les lieux du crime pour examiner le cadavre.
Le commissaire Blanchart chargé de l’enquête, sortit du mur la balle à l’aide d’une pince à épiler. Le criminel avait du rater son premier tir mais le deuxième il ne l’avait pas loupé. Il s’agissait d’une balle de 22 long rifle.
J’accompagnai les policiers au Commissariat. Ils trouvèrent le numéro de l’arme. Alors ils se précipitèrent dans leur voiture. Je leur demandai si je pouvais les accompagner, l’inspecteur me fit signe de prendre un gilet pare- balle.
On alla faire une descente à la rue des Oeillets. Il n’y avait personne mais on trouva 1 kg de résine de cannabis dans sa chambre sous son lit.
Alors qu’on s'apprêtait à retourner au commissariat; une Mercedes immatriculée 1649 WJ 29 s’arrêta net devant la maison. On fit aussitôt demi-tour, lorsque la voiture accéléra en direction de la voie express.
Soudain la personne perdit le contrôle de son véhicule et s'encastra dans un poteau téléphonique. Heureusement il n'était pas grièvement blessé et je pus l'arrêter.
Le criminel prit 5 ans de prison ferme et une amende de 6O OOO francs pour possession de drogue et délit de fuite.
Explications :