Sagot :
Pour comprendre les enjeux de la fraction hydraulique, il faut en comprendre d'abord le principe : il s'agit d'envoyer sur un lit profond et dur une pression telle qu'elle va aboutir à la fraction des sédiments laissant passer l'énergie fossile. Et pour éviter que ces fractions ne s'effondrent ensuite sur elles-mêmes, on adjoint à l'eau un fluide à base de schiste ou de sable.
Les enjeux sont de différentes natures. Le but étant de fournir une énergie la moins chère possible au détriment d'un certain nombre de considérations, qui peuvent relever de la santé publique. On retiendra, entre autres:
- Les dégradations environnementales (des écosystèmes, des nappes, de l'air, des eaux souterraines et de surface, du sol et du sous-sol) ; gaz de schiste radioactif.
- La durabilité et la soutenabilité de ce type d'exploitation très productrices au début, mais peu durables avec pour conséquence un criblage du paysage de dizaines de milliers de puits en quelques années.
- L'impact paysager (construction de milliers d'emplacements de forage, stockage, bassins, puits, routes), visible sur l'imagerie satellitaire.
- Les impacts directs et indirects en termes d'empreinte écologique, et sur l'effet de serre et la pollution de l'air (via la pollution routière fortement mobilisée par ces activités) et de possibles impacts éco-paysagers (liés notamment aux émanations des installations et bassins de stockage des fluides et eaux polluées)
- Les incertitudes persistantes quant au risque de drainage acide, au comportement modifié de la roche fracturée face à l'aléa sismique.
- Le problème de la consommation importante d'eau que demande la fracturation hydraulique massive, notamment dans les zones sèches.
Les enjeux sont de différentes natures. Le but étant de fournir une énergie la moins chère possible au détriment d'un certain nombre de considérations, qui peuvent relever de la santé publique. On retiendra, entre autres:
- Les dégradations environnementales (des écosystèmes, des nappes, de l'air, des eaux souterraines et de surface, du sol et du sous-sol) ; gaz de schiste radioactif.
- La durabilité et la soutenabilité de ce type d'exploitation très productrices au début, mais peu durables avec pour conséquence un criblage du paysage de dizaines de milliers de puits en quelques années.
- L'impact paysager (construction de milliers d'emplacements de forage, stockage, bassins, puits, routes), visible sur l'imagerie satellitaire.
- Les impacts directs et indirects en termes d'empreinte écologique, et sur l'effet de serre et la pollution de l'air (via la pollution routière fortement mobilisée par ces activités) et de possibles impacts éco-paysagers (liés notamment aux émanations des installations et bassins de stockage des fluides et eaux polluées)
- Les incertitudes persistantes quant au risque de drainage acide, au comportement modifié de la roche fracturée face à l'aléa sismique.
- Le problème de la consommation importante d'eau que demande la fracturation hydraulique massive, notamment dans les zones sèches.