Sagot :
Le parallèle que l'on peut faire entre les deux textes est la question de l'origine de la naissance. Dans le texte de Marivaux, ceux qui dictent la loi ont pour seul mérite leurs richesses de même que le monologue de Figaro s'adresse à quelqu'un qui a uniquement le mérite d'être bien né alors que lui, Figaro, a tenté d'acquérir des mérites par la connaissance.
Marivaux met en lumière le fait que les riches exigent des vertus morales des autres qu'ils ne s'appliquent pas à eux-mêmes, tandis que les pauvres sont encore capable de les pardonner pour leurs maltraitances. Qui donc finalement a le plus de qualités?
Figaro se plaint de son destin d'homme qui n'est pas bien né et dit "Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil" . Il a tenté de s'instruire, de se forger une place dans une société où la reconnaissance de ses talents lui a été refusée.
Marivaux met en lumière le fait que les riches exigent des vertus morales des autres qu'ils ne s'appliquent pas à eux-mêmes, tandis que les pauvres sont encore capable de les pardonner pour leurs maltraitances. Qui donc finalement a le plus de qualités?
Figaro se plaint de son destin d'homme qui n'est pas bien né et dit "Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil" . Il a tenté de s'instruire, de se forger une place dans une société où la reconnaissance de ses talents lui a été refusée.