Sagot :
Nous sommes le 3 novembre 2013, une agitation et une tension se ressentent dans le quartier où j'habite, la sonnerie d'alarme de notre bille n'arrête pas de retentir...Mes parents et moi sommes à l'affût devant le poste de télévision pour comprendre ce qui se passe dehors.
La guerre est-elle déclarée? Par qui?
Des voisins sonnent à notre porte pour nous dire au revoir et bonne chance!
Un chahut et une précipitation s'accélère dans les rues. La nouvelle tombe aux informations, "la Syrie a décidée d'attaquer notre ville!".
Une agitation et de3s klaxons retentissent dans la rue, les gens crient et je comprends alors que tout le monde a peur.
Mes parents et moi, nous décidons de préparer nos effets personnels, notre argent et des provisions de nourriture et de charger le tout dans notre voiture pour partir chez mes grands parents qui habitent le sud d la France.
Je me sens enfin en sécurité quand je monte dans la voiture.
Là bas nous serons en sécurité jusqu'à ce que la menace soit levée.
La guerre est-elle déclarée? Par qui?
Des voisins sonnent à notre porte pour nous dire au revoir et bonne chance!
Un chahut et une précipitation s'accélère dans les rues. La nouvelle tombe aux informations, "la Syrie a décidée d'attaquer notre ville!".
Une agitation et de3s klaxons retentissent dans la rue, les gens crient et je comprends alors que tout le monde a peur.
Mes parents et moi, nous décidons de préparer nos effets personnels, notre argent et des provisions de nourriture et de charger le tout dans notre voiture pour partir chez mes grands parents qui habitent le sud d la France.
Je me sens enfin en sécurité quand je monte dans la voiture.
Là bas nous serons en sécurité jusqu'à ce que la menace soit levée.
"C'était le 23 septembre 1942, le vieux Paul, qui était comme le père de tous dans mon village, arriva en courant en hurlant à plein poumon : "ILS VONT NOUS BOMBARDER ! LES BOCHES !". Tout le monde était en panique, que fallait-il faire ? Nous ne savions même pas pour quand l'attaque était prévue, le lendemain ou le surlendemain, surement. On a réunit tout les chefs de famille sur la place, et, du haut de mes 17 ans, je fus obligé d'y aller, mon père étant décédé. Ma mère m'y accompagna, et la voisine garda mes quatre petites sœurs et mon frère, qui ne marchait même pas à l'époque. Certains hommes se proposait de rester à l'abris dans la forêt, parce qu'il ne fallait pas abandonner le village, du moins, pas complètement. Je me proposa mais ma mère refusa instantanément, elle ne voulais perdre personne d'autre dans sa famille. On eu une longue discussion qui dura peut-être deux heures, sur ce qu'il fallait faire, rester ou fuir. Rester, signifiait une mort certaine, et en fuyant, on prenait le risque de se faire prendre par la Gestapo, qui nous attendais sûrement en bas du chemin qui descendait jusqu'à la ville. Ensuite, il fallut rentrer chez nous, car la nuit tomber. Chacun fit ce qui lui semblait le mieux. Certains hommes accompagnèrent un groupe d'une dizaine d'enfants et leurs mères dans la montagne, à environ deux heures de marche ; ils y resteraient tant que la menace fut présente. Je ne put fermer l'oeil de la nuit : le sort de de mes soeurs, de mon frère et de ma mère était quelque chose de trop important. Je pris ma décision : j'allai les emmener dans la forêt, et nous essayerons de retrouver les autres. Je réveilla ma mère à trois heures, nous prenions nos maigres possessions (de la nourriture, quelques vêtements, et quelques photos de famille) puis, vers quatre heure, nous partîmes tous ensemble vers la forêt. Nous retrouvâmes difficilement les autres familles, les hommes construisant une cabane de misère avec quelques branches et des feuilles, les femmes nourrissant les petits. Les hommes redescendirent au village chercher les autres familles souhaitant monter avec eux. Nous dormions les uns contre les autres, tant il faisait froid. A l'aube, nous fûmes réveiller par un énorme bruit sourd : Le bombardement avait commencé. Plus tard dans la journée, le vieux Paul monta, et nous dit que notre choix était le bon : tous était mort, sauf lui et un autre homme, gravement blessé. Les familles qui était parti vers la ville s'était fait arrêter. Après tout, nous étions maquisard..."
J'espère que cela t'a aidé ! :')
J'espère que cela t'a aidé ! :')