Elle remarque un jeune homme, un étudiant. Ce garçon a une beauté pâle, avec de grands cheveux de poète et une moustache d'officier. Thérèse le trouve distingué. Elle en fut amoureuse pendant une semaine, amoureuse comme une pensionnaire. Elle lit des romans, elle compare le jeune homme à Laurent, et trouva ce dernier bien épais, bien lourd. La lecture lui ouvre des horizons romanesques qu'elle ignorait encore.