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Poème : Avis

 

La nuit qui précéda sa mort

Fut la plus courte de sa vie

L'idée qu'il existait encore

Lui brulait le sang aux poignets

Le poids de son corps l'écoeurait

Sa force le faisait gémir

 

C'est tout au fond de cette horreur

Qu'il a commencé à sourire

Il n'avait pas un camarade

Mais des millions et des millions

Pour le venger il le savait

Et le jour  se leva pour lui

 

Poème : Couvre-Feu

 

Que voulez-vous la porte était gardée

Que voulez-vous nous étions enfermés

Que voulez-vous la rue était barrée

Que voulez-vous la ville était matée

Que voulez-vous elle était affamée

Que voulez-vous nous étions désarmés

Que voulez-vous la nuit est tombée

Que voulez-vous nous nous sommes aimés

 

Questions : 

1) Quel poème semble autobiographique ? Lequel est un récit à la 3eme personne . Justifie

 

2) Quel temps dominant , à valeur descriptive est commun aux 2 poemes ? Montrez que dans les vers 1 à 4 " Couvre feu " , le description suit une certaine progression .

 

3) Le poeme " Couvre feu " est entierement construit sur une figure de style . Laquelle ?

 

4) Dans " Couvre feu " à quelle voix et à quelle temps sont les vers 1 à 6 ? Et a quel temps sont les vers 7 et 8 ? Mettez les vers 7 et 7 au plus que parfait

 

5) Réécrivez le poeme " avis " en imaginant qu'il ne parle pas d'un seul condamné a mort , mais de 5 hommes , et en remplacant le passé simple par le passé composé

 

Répondez que si vous savez svp



Sagot :

1) le poéme qui semble autobiographique est le "couvre feu" car ; il y a une répetition de "vous" et de "nous" ce qui signifie que ces a la 1er personne et vue que l'auto-biographie ce fait avec "je" le poéme "couvre feu" est autobiographique.

 

le récit a la 3eme personne est avis , il y a "la nuit" , "lui" , "lidée"... qui sont a la 3éme personne.

 

2)je ne sais pas.

 

 

3) la figure de style ces la répetition , répetition de "que voulez-vous".

 

4)je ne sais pas.

 

5)

La nuit qui précéda leurs morts

Fut la plus courte de leurs vie

L'idée qu'ils existaient encore

leurs brulaient le sang aux poignets

Le poids de leurs corps les écoeuraient

leurs force les faisaient gémirs

 

C'est tout au fond de cette horreur

Qu'ils ont commencé à sourires

Ils n'avaient pas un camarade

Mais des millions et des millions

Pour les venger ils le savaient

Et le jour  se leva pour eux