Je dois faire une lettre qui doit faire 20 lignes.  Pouvez-vous me donnez des idées!!!! Vite!!! SVP!!! Merciii!!!!!

Je dois m'inspirer du texte ci dessous. 

 

A COULANGES A Paris, ce lundi 15 décembre [1670].
Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus
triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus
imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'aujourd'hui, la
plus brillante, la plus digne d'envie : enfin une chose dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés, encore cet
exemple n'est-il pas juste; une chose que l'on ne peut pas croire à Paris (comment la pourrait-on croire à Lyon ?) ; une chose
qui fait crier miséricorde à tout le monde; une chose qui comble de joie Mme de Rohan et Mme d'Hauterive ; une chose enfin
qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être
pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire; devinez-la : je vous la donne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Eh
bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous
le donne en dix; je vous le donne en cent. Mme de Coulanges dit : Voilà qui est bien difficile à deviner; c'est Mme de la
Vallière. — Point du tout, Madame. —C'est donc Mlle de Retz ? — Point du tout, vous êtes bien provinciale. — Vraiment
nous sommes bien bêtes, dites-vous, c'est Mlle Colbert ? — Encore moins. —C'est assurément Mlle de Créquy ? — Vous n'y
êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire : il épouse, dimanche, au Louvre, avec la permission du Roi, Mademoiselle,
Mademoiselle de... Mademoiselle... devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi! par ma foi! ma foi jurée!
Mademoiselle, la grande Mademoiselle; Mademoiselle, fille de feu Monsieur; Mademoiselle, petite-fille de Henri IV



Sagot :

J’ai trouvé cette idée à toi d’adapter et de mettre le nom de ton acteur préféré  si l’histoire te plait

 

 

 

Chère Anne,

 

Je vais te raconter une histoire qui n’est arrivée ce midi alors que je me promenais sur les Champs Elysées.

Une histoire ? Que dis-je ? La plus belle, le plus merveilleuse, la plus prodigieuse journée de ma vie.

JE me suis retrouvée près de lui .Si ,s i je t’assure. Il est arrivé à côté de moi , je regardais les vitrines

et Il m’a dit : »sauvez-moi ».

Je me suis retourné vers le plus beau, le plus exceptionnel, le plus étourdissant sourire. Ah , Anne ! ! !

J’ai senti    mes jambes se dérober  sous moi , mais j’ai tout de même répondu : «  que puis-je pour vous ? »

« Il y a une horde de journalistes et de femmes qui me poursuivent et qui m’ont reconnu, prenez ma

main ils ne me cherche pas en couple, je vais enlever mon manteau trop voyant ».

J’étais étourdie, éblouie, ahurie, par tant de charme, il était encore plus beau qu’au cinéma ;

Et puis la foule d’admirateurs est passée sans le voir. Il m’a lâché la main, et m’a fait un signe en me

disant merci. J’étais subjuguée. Alors tu donnes ta langue au chat ? Tu as compris ? Sais-tu qui était

près de moi ? As-tu « repéré « celui qui m’a souri ?Bien sûr je parlais de l’acteur………………………………..

Quelle extase, qu’elle euphorie, quel vertige. Crois-moi, je ne suis pas prête à oublier cette étonnante journée.

Bisous à toi, à bientôt.