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avez d'habiles gens ici, d'anciens serviteurs, à qui cet emploi convient mieux
qu'à moi.
LA PRINCESSE
La supériorité de mérite doit l'emporter en pareil cas sur l'ancienneté des services, et
d'ailleurs Frédéric est le seul que cette fonction pouvait regarder, si vous n'y étiez pas, mais
il m'est affectionné, et je suis sûre qu'il se soumet de bon cœur au choix qui m'a paru le
meilleur. Frédéric, soyez ami de Lélio, je vous le recommande. Frédéric fait une profonde
révérence. La Princesse continue. C'est aujourd'hui le jour de ma naissance, et ma Cour,
suivant l'usage, me donne aujourd'hui une fête que je vais voir. Lélio, donnez-moi la main
pour m'y conduire, vous y verra-t-on, Frédéric ?
FRÉDÉRIC
Madame, les fêtes ne me conviennent plus.

A quel temps est conjugué ce texte ?

La supériorité de mérite doit (présent indicatif) l'emporter en pareil cas sur l'ancienneté des services, et d'ailleurs Frédéric est (présent indicatif) le seul que cette fonction pouvait (imparfait indicatif) regarder, si vous n'y étiez (imparfait indicatif) pas, mais il m'est affectionné (passé composé indicatif) , et je suis ( présent indicatif) sûre qu'il se soumet (présent indicatif) de bon cœur au choix qui m'a paru (passé composé) le meilleur. Frédéric, soyez (impératif présent ) ami de Lélio, je vous le recommande (présent indicatif) . Frédéric fait (présent indicatif) une profonde révérence. La Princesse continue (présent indicatif) . C'est (présent indicatif) aujourd'hui le jour de ma naissance, et ma Cour,

suivant l'usage, me donne (présent indicatif) aujourd'hui une fête que je vais (présent indicatif) voir. Lélio, donnez-moi (impératif présent) la main pour m'y conduire, vous y verra-t-on (futur indicatif) , Frédéric ?

FRÉDÉRIC

Madame, les fêtes ne me conviennent (présent indicatif) plus.