Sagot :
Bonjour, dans ce poème victor hugo dénonce le travail dur et pénible des enfants. Pour les figures de style : Vers 5:
« De l’aube au soir » :Antithèse marquant la monotonie et la durée et amplifiée (hyperbole) par l’adverbe éternellement : ces enfants ne voient jamais le soleil. Ils sont condamnés à perpétuité au travail, un enfer.
Vers 6 :
« même prison … même mouvement » : répétition indiquant la lassitude et la stérilité de cette activité.
Vers 7 :
« dents d’une machine » : personnification de l’objet, qui devient animal féroce.
Vers 8 :
« monstre hideux… mâche… dans l’ombre » : la machine est, dans une métaphore filée, assimilée à un ogre dont l’aspect sournois est précisé par « dans l’ombre » ou « sombre » que l’on trouve au vers précédent. L’horreur, tapie dans l’obscurité, attend pour avaler un de ces enfants.
Il y a douze syllabe, ce sont des alexandrins, rime embrasse
« De l’aube au soir » :Antithèse marquant la monotonie et la durée et amplifiée (hyperbole) par l’adverbe éternellement : ces enfants ne voient jamais le soleil. Ils sont condamnés à perpétuité au travail, un enfer.
Vers 6 :
« même prison … même mouvement » : répétition indiquant la lassitude et la stérilité de cette activité.
Vers 7 :
« dents d’une machine » : personnification de l’objet, qui devient animal féroce.
Vers 8 :
« monstre hideux… mâche… dans l’ombre » : la machine est, dans une métaphore filée, assimilée à un ogre dont l’aspect sournois est précisé par « dans l’ombre » ou « sombre » que l’on trouve au vers précédent. L’horreur, tapie dans l’obscurité, attend pour avaler un de ces enfants.
Il y a douze syllabe, ce sont des alexandrins, rime embrasse