Réponse :
Il y a un paradoxe entre doux et cadavre.
On trouve la comparaison avec le gant et une métaphore : peau glacée. Là encore, on trouve un paradoxe, comme une opposition, une antithèse.
Si on imagine un gisant, c'est à dire la sculpture allongée sur certains tombeaux ou sarcophages, seuls les pieds sont un peu verticaux et la poétesse imagine avoir vu, avant de mourir, ses pieds mais dans une vision agrandie, c'est la métaphore des montagnes et des monts. Au lieu d'évoquer la mort, elle décrit un paysage.