Sagot :
Je me réveillai en sursaut cette nuit là … de grands bruits insupportables de sirène de polices résonnaient dans les rues sombres et dangereuses de cette ville, je ne savais pas ce qui se passer exactement mais j’étais terrifiée. Je me levai de mon lit et parcouru mon appartement pour voir si mes parents dormaient toujours. J’ouvris la porte et les aperçus en train de dormir d’un sommeil profond.
- Mince … pourquoi me suis-je réveillée alors que ça n’est pas la première fois que les sirènes de polices retentissent tard le soir dans les rues…
Je décidai alors de retourner dans ma chambre. Soudain, quand j’ouvris la porte, une brise d’air frais me vint soudain en pleine figure et j’aperçus ma fenêtre grande ouverte .
- Je ne l’avais pourtant pas ouverte et j’étais bien sûre de l’avoir fermée à clé …
Je m’approchai d’elle à pas de loups, toujours sur mes gardes en cas de besoin. Je me penchai vers ma fenêtre mais rien. Rien du tout. Je me demandais si ce n’étais pas juste moi qui avait perdu la boule mais au bord de ma fenêtre, je vis un morceau de tissu noir accroché à cette dernière. Je l’inspecta minutieusement mais comme je n’avais pas les talent de Sherlock Holmes, je pris le morceau de tissu et le posa sur mon bureau. Puis, fatiguée par ce stress causé pour rien et l’heure qui se présentée sur mon horloge, je sautai dans mon lit et me rendormi de si tôt. Quelques minutes passèrent et j’entendis d’une oreille des bruits de tambours sur ma fenêtre. Je levai ma tête et vit des cailloux qui se cognaient contre ma fenêtre et tombés sur le sol. Pris de panique, j’allais réveiller mes parents. Ils étaient complètement déboussolés par mes cris hystérique et mes pleurs. Ils se levèrent alors en vitesse et se dirigèrent vers ma fenêtre. Arrivés dans ma chambre, plus un bruits, les lancés de pierre s’étaient arrêtés et la rue était calme et tranquille. Mes parents, un peu perdus parce qu’il venait de se passer, me déplacèrent dormir dans le canapé du salon. Depuis, je n’eus plus jamais des nuits aussi étranges que celle-ci .
Voilà j’espère que j’ai pu t’aider, j’ai beaucoup aimée écrit cette petit histoire <3
- Mince … pourquoi me suis-je réveillée alors que ça n’est pas la première fois que les sirènes de polices retentissent tard le soir dans les rues…
Je décidai alors de retourner dans ma chambre. Soudain, quand j’ouvris la porte, une brise d’air frais me vint soudain en pleine figure et j’aperçus ma fenêtre grande ouverte .
- Je ne l’avais pourtant pas ouverte et j’étais bien sûre de l’avoir fermée à clé …
Je m’approchai d’elle à pas de loups, toujours sur mes gardes en cas de besoin. Je me penchai vers ma fenêtre mais rien. Rien du tout. Je me demandais si ce n’étais pas juste moi qui avait perdu la boule mais au bord de ma fenêtre, je vis un morceau de tissu noir accroché à cette dernière. Je l’inspecta minutieusement mais comme je n’avais pas les talent de Sherlock Holmes, je pris le morceau de tissu et le posa sur mon bureau. Puis, fatiguée par ce stress causé pour rien et l’heure qui se présentée sur mon horloge, je sautai dans mon lit et me rendormi de si tôt. Quelques minutes passèrent et j’entendis d’une oreille des bruits de tambours sur ma fenêtre. Je levai ma tête et vit des cailloux qui se cognaient contre ma fenêtre et tombés sur le sol. Pris de panique, j’allais réveiller mes parents. Ils étaient complètement déboussolés par mes cris hystérique et mes pleurs. Ils se levèrent alors en vitesse et se dirigèrent vers ma fenêtre. Arrivés dans ma chambre, plus un bruits, les lancés de pierre s’étaient arrêtés et la rue était calme et tranquille. Mes parents, un peu perdus parce qu’il venait de se passer, me déplacèrent dormir dans le canapé du salon. Depuis, je n’eus plus jamais des nuits aussi étranges que celle-ci .
Voilà j’espère que j’ai pu t’aider, j’ai beaucoup aimée écrit cette petit histoire <3