Sagot :
Bonjour,
toutes les tendresses
des hurlements rayèrent
deux oiseaux de nuit, perdus .... réveillés de leur torpeur
les vagues apparurent
les cieux apaisés
entourées d'une vapeur tremblotante qui ôtait à toutes les parcelles
les vagues me parlèrent
"Nous sommes désolées .... à notre appel
Nos voix sont si faibles
aime-nous, ne nous oublie pas ."