Sagot :
Réponse :
Et l'horloge qui bat et les heures s'écoulent
Tout comme un sablier qui égrène le temps
Ma vie s'en va s'étiole et les espoirs s'écroulent
Le jour toujours s'enfuis je marche à contretemps
J'écoute le tic tac et celui de mon coeur
J'ai vécu des années et tout seul je demeure
Je n'ai plus de présent et j'ai fui le bonheur
Je vois le temps passer démuni à chaque heure
Où sont les jours passés ne reste que malheur
Ma vie peau de chagrin rétrécie chaque jour
Au creux de mes mains vides pas un gramme de bonheur
Le temps est un tyran qui agite l'esprit
Il s'efface à jamais sans espoir de retour
Mon âme est agitée et plus aucun répit