Réponse :
Coucou !
Je te fais que l'exercice 2, car le 1 j'ai peur de faire des bêtises ! ^^
Exercice 2 :
Je respirais l’odeur du wagon, cette odeur de drap, de cuir de charbon à laquelle se mêla depuis un moment une odeur nouvelle, particulière et que je ne connaissais pas. Il semblait que l’air se soit comme distendu pour se laisser pénétrer d’une sorte de langueur humide, molle, qui sentait l’herbe et l’eau, la prairie et le fossé, le jonc et la terre. Peu à peu le train ralentissait, puis s’arrêta le long d’un quai. Des portières s’ouvrirent. Des porteurs coururent sur le trottoir sous la lumière crue des globes électriques. La semelle au marchepied, je descendais en face d’une pancarte ou ils furent inscrites les lettres de ce nom magique : Venezia !