Bonsoir
Candide et Cacambo, chassés du paradis terrestre, marchèrent longtemps sans savoir ou pleurant, levant les yeux au ciel, les tournant souvent vers le plus beau des châteaux qui renfermait la plus belle des baronettes : ils se couchèrent sans souper au milieu des champs entre deux sillons ; la neige tombait à gros flocons. Candide et cacambo, tout transi, se traînèrent le 5 lendemain vers la ville voisine […] ils s’arrêtèrent tristement à la porte d’un cabaret