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Sagot :

Je suis dans une plaine…sombre et angoissante où la lune nous donne une lumière qui peut être réconfortante mais tout aussi effrayante en faisant apparaître des ombres sûrement inexistantes. Je marche, je marche 5 kilomètres. Je ne retrouve plus le chemin sur lequel j’étais avec mes amis, tous sommes perdus. Il doit être 23 heures, on a voulu faire une balade avec les copains. Nous nous sommes arrêtés il y a quelques heures près de l’endroit où on se regroupait souvent, et cette fois on a voulu faire un peu le tour pour connaître un peu plus l’endroit de notre enfance. Seulement… il était 16 heures à ce moment là, et notre environnement était des plus chaleureux, un soleil éblouissant nous faisait apparaître des goutes de sueur et tout en nous faisant profiter d’une excellente journée pleine de chaleur. En s’enfonçant de plus en plus dans cet endroit, nous avions tellement de choses à découvrir, nos yeux trop concentrés sur chaque détails de nos alentours. Le temps passait vite, très vite, mais quel importance car nous étions en bonne compagnie de nos gourdes et aliments que nous avions mît dans nos sacs quelques heures avant notre aventure. On s’amuse, on rigole, on chante… tout d’une après-midi parfaite. Soudain, un chemin, surréaliste ma foi, nous tapa à l’œil. Intrigué nous n’hésitions pas a vouloir le traverser, nous étions prit d’une excitation incontrôlable. Mais…une erreur… nous sommes désormais perdu, dans une sorte de dimension infini. Le paysage troublant, une plaine mais le désert en même temps, le jour et puis la nuit… Cela fait 4 heures que nous marchons mais nous revenons toujours à notre point de départ. La soif et la faim nous abritent, des créatures inexistantes crées d’ombres nous poursuivent. Non, je crois rêver, la peur me gagne l’esprit et les larmes veulent couler. Ma famille ? Me savent-t-ils disparut. Je suis effrayé, par ses montres qui nous guettent, les arbres qui se déchaînent au grès du vent qui est de plus en plus fort chaque minutes. Passer du beau temps me faisant transpirer au froid qui me glace chaque partie de mon corps qui reste trop de temps sans bouger. Je tombe dans le vide, je sens le sol bouger sous mes pieds, un trou de creuse pour laisser mon corps se coller sur le sol mais sans y parvenir. Mon corps me donne le signale qu’il va y avoir un choc, je me prépare et soudain…je me réveille dans mon lit en pleine nuit, je regarde l’heure à ma droite sur la table de chevet, il est 5 heures du matin. Je suis sur mon lit, la sueur froide me coule de mon front, mes habilles mouillés comme si je venait de sortir de l’eau. Une soulagement d’un cauchemars irréel. Je peux me rendormir…

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