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Sagot :

Réponse:

Chaque victime est une victime de trop. Ces femmes ne sont pas des statistiques, ce sont des filles, des mères, des sœurs, des amies, des collègues, des êtres humains. Lutter contre la violence faite aux femmes, c'est briser toutes les barrières systémiques à l'émancipation pleine et entière de celles-ci.

Explications:

C'est une lettre que j'ai copier sur Google j'espère au moins que sa va t'aider

Réponse :

Explications :

cher ( tu met le nom de la personne) il y a de la violence dans la vie

je vais t'expliquer :

Se libérer de l’emprise d’un partenaire violent est souvent loin d’être simple pour une personne victime de violence conjugale et familiale. Très souvent, l’agresseur contrôle les allées et venues, les communications, les fréquentations et les finances de sa victime, ce qui rend la fuite d’autant plus difficile. Sans compter la peur de subir une violence pire encore, voire d’être tuée ou de voir ses enfants se faire tuer.

Malheureusement, ces craintes sont bien souvent fondées. Depuis le début de l’année, 17 femmes ont été tuées dans un contexte de violence conjugale au Québec. Il y a eu autant de féminicides en quelques mois qu’il y en a normalement en une année. Chaque victime est une victime de trop. Ces femmes ne sont pas des statistiques, ce sont des filles, des mères, des sœurs, des amies, des collègues, des êtres humains.

Lutter contre la violence faite aux femmes, c’est briser toutes les barrières systémiques à l’émancipation pleine et entière de celles-ci. Afin qu’elles puissent rompre avec le cycle de la violence dont elles subissent les conséquences dramatiques, il faut impérativement et dans les plus brefs délais intervenir afin qu’aucune personne ne risque de perdre son revenu pour protéger son intégrité physique.

À défaut de mettre fin à la violence conjugale, nous demandons au gouvernement de prendre des mesures de soutien concrètes et de modifier les lois. Ainsi, nous réclamons dix jours de congé rémunérés pour les victimes de violence conjugale afin de les aider à s’en sortir. Il s’agit d’un geste profondément humain de compassion et d’entraide. Et surtout, cela contribuerait à sauver des vies. Déjà, le gouvernement fédéral et certaines entreprises privées offrent de tels congés à leur personnel. Le Québec doit agir.

Protéger et aider les victimes est la responsabilité de tous, y compris des employeurs. Cette mesure et d’autres mesures pourraient également s’insérer dans la Loi sur la santé et la sécurité au travail ou encore dans la Loi sur les normes du travail.

Nous demandons au gouvernement d’apporter rapidement des solutions en ce sens. Être sensible à la situation des victimes, c’est bien, mais agir, c’est mieux.

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