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Bonjour pouvez vous m’aider svp je viens de prendre la corretion de la suite de mes autres phrases. Pourriez-vous m'aider à corriger la fin de ma rédaction (vous pourrez aussi faire des modifications):

Alors le père réveilla son fils et il dit : < j’ai voulu te protéger, te mettre en sécurité mais j'étais tué par ta mère>> et il dis aussi que c'est lui la maison vivante c'est-à-dire quand il a été tué il s'est transformé en maison pour se venger de la mère en la tuent donc il pourrait contrôler dans toute la maison et il essaie aussi de protéger son fils. Enfin son fils répond qu'il veut venir avec lui car il veut pas vivre sa vie sans lui donc il a besoin de lui, le père sans réponse car c'est sa décision. Alex se suicida avec l’arme. Ainsi, tous les deux sont morts dans la maison où le père est mort par la mère.

Sagot :

Réponse:

voilà la correction

Alors le père réveilla son fils et il dit : j’ai voulu te protéger, te mettre en sécurité, mais j'étais tué par ta mère; et il dit aussi que c'est lui la maison vivante, c'est-à-dire quand il a été tué, il s'est transformé en maison pour se venger de la mère en la tuant donc il pourrait contrôler dans toute la maison et il essaie aussi de protéger son fils. Enfin, son fils répond qu'il veut venir avec lui, car il ne veut pas vivre sa vie sans lui donc il a besoin de lui, le père sans réponse, car c'est sa décision. Alex se suicida avec l’arme. Ainsi, tous les deux sont morts dans la maison où le père est mort par la mère.

Alex réussi à ouvrir la porte, bien que c’était compliqué malgré sa force…
On aurait dit que quelqu’un l’avait piégé. Alex essaie alors de trouver un moyen pour partir d'ici, il monta à l'escalier et aperçoit un grenier, il décida d’entrer et il y découvrit des photos de son père décédé. Celui-ci c’était suicider, il y 1 ans, enfin, c’est ce que sa mère lui avait raconté à propos de son père, elle en parlait rarement, d’ailleurs, il n’en savait pas beaucoup sur sa mère également…
Peut-être cacheraient-ils quelques chose ? Soudain, Alex entendit un bruit venant du rez-de-chaussée. Le claquement des portes, les lumières qui s'allument ou s'éteignent tout seul et qui parfois s’éclate. Alex était paralysé par cette frayeur, mais il ne laissa pas son effrois prendre le dessus sur sa raison et bien que ses mains tremblotaient, il saisis son cellulaire et appela sa mère pour lui demander de venir le chercher. Oui, cela pourrait paraître lâche pour quelqu’un comme Alex, mais sa fierté ne comptait point à ce moment précis. Sa peur était dominante.

Une seconde semblait passer comme une année pour Alex, mais finalement, sa mère était arrivée dans les lieux. Le visage d’Alex s’adoucit alors en voyant le visage de sa génitrice et laisse paraître un sourire nias sur son visage. Or, comme son fils, elle laissa la porte se fermer derrière elle, bloquant l’issue de la Liberté. Alex regretta de ne pas avoir prévenu sa mère, il jeta la faute sur cette satanée maison qui l’effrayait tant pour l’avoir fait oublier de prévenir sa mère. C’est vrai que ce n’était pas très perspicace de sa part. la mère entra dans la maison mais elle est aussi piéger puisque son fils ne l'avait pas dit que la porte se fermer toute seule. Il porte son regard sur sa mère, et les souvenirs de son père lui revenait en tête. Enfin, ce dont il se questionnait le plus, c’était sa mère. Qui était elle ? Comment son propre fils ne pourrait-il pas la connaître ? Il s’attarda donc sur ses détails physique. Bien qu’elle semblait amical, une aura effrayante se dégageait d’elle. En regardant plus précisément, Alex remarqua les longs ongles qu’elle cachait sous une ample robe, qui ressemblait plus à des griffes au vue de leurs couleurs noircis et hideuse. Elle portait également, ses fameuses lunettes de soleil et son chapeau, qui lui permettait d’après elle, de se protéger de la lumière car elle ne la supportait pas. Alex se remémore les quelques fois où il a pu sortir avec sa mère et qu’ils avaient rencontré des gens. Certains étaient effrayé en la voyant et prenaient rapidement la fuite, d’autres la regardaient et se moquaient d’elle en l’insultant de "sorcière".

« Papa, est mort dans le grenier ? » dis Alex, sans arrière pensée. Cette question lui a traversé l’esprit soudainement. Après tout, il voulait vraiment connaître un peu plus en détails son père et les raisons de sa mort.

« Quoi ?! Mais que dis-tu ?! Je te dis qu’il s’est suicidé dans un hôtel, je t’en ai déjà parlé non ?! » répliqua sa mère, choquée par les paroles de son fils. Elle regarda son fils d’un manière craintive, au point où Alex se demandait si la réponse de sa mère était véridique. Soudainement, une voix rauque retentit dans la pièce sombre et partiellement éclairée.

« NON ! TOUS CELA EST FAUX ! » les murs du grenier vibrait et des sortes de grognements se faisaient entendre paralysant Alex d’une peur effroyable.

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