Salut, j'ai une production écrite a faire, et je n'arrive pas, aidez moi SVP.
Voici les instructions:
Vous subissez le regard critique d’une personne de votre entourage.
Présentez les circonstances. Puis, décrivez d’un ton satirique ce regard (ce jugement)
en vous recourant aux procédés de l’ironie.
Vous exprimez ensuite vos sentiments à l’égard de ce regard (refus, révolte, haine,
étonnement, gêne …) : ayez recours notamment aux phrases interrogatives et
exclamatives.

Votre sujet fera une trentaine de lignes et comportera une introduction, un
développement et une conclusion (annoncés par des alinéas).


Sagot :

rédaction :

je venais d'entrer au collège j'étais très sûr de moi et j'espérais que ce premier jour allait bien se passer. Arrivant à l'école je distinguais de nouveaux visages et des anciens que j'avais connu auparavant et tous pendant deux mois de vacances avaient changé. Ils portaient de nouvelles tenues, de nouvelles chaussures et il avait même changé de coiffure. je m'approchais de mes amis de primaire en espérant qu'ils ne m'avait pas oubliés. Les regard qu'ils me lançaient étaient pesants. Ils me dévisageaient et à ma grande surprise ils se mirent tu as rire alors, je me rendis compte que pendant ces deux mois de vacances je n'avais pas changé contrairement à eux j'avais la même coiffure, les mêmes chaussures et aussi le même cartable.

Je me suis dit que ce n'était pas grave d'être différentes alors je m'approchai quand même d'eux mais les rires était de plus en plus forts, je ne savais plus quoi penser, ce premier jour au collège m'était épouvantable. Je décidai que j'allais les éviter jusqu'à la fin de ma scolarité et je me laissa encore porté par l'idée que tout s'arrangerait et que les moqueries allaient cesser, mais je sentais encore les regards et les doigts rivés sur moi à cet instant tout ce que je voulais c'était de disparaître et de ne plus jamais remettre les pieds au collège. La première journée j'étais seule. Personne ne m'a adressé la parole et, quand je suis rentré chez moi je me sentait au plus mal. Le lendemain matin j'arrivais cette fois la boule au ventre au collège j'avais peur du regard des autres. À ma grande surprise un groupe de personnes que je ne connaissais pas c'est pas s'approchait de moi et nous discutâmes sans problème. Je n'avais plus à m'en faire. J'avais de nouveaux amis.