Sagot :
Mathilde Loisel est une Parisienne au foyer qui rêve d'une vie d'ostentation, de richesses et d'élégance. Elle est l'épouse d’un petit employé du ministère de l'Instruction publique, qu'elle a épousé faute de mieux, mais qui en fait beaucoup pour elle.
Un jour, celui-ci arrive avec une invitation pour une fête au Ministère, et pour ne pas laisser se montrer au travers de son rang, elle emprunte un collier à son amie, Jeanne Forestier, qui fait partie du beau monde qu'elle rêve de fréquenter. Rentrée chez elle, elle s'aperçoit qu'elle a perdu le collier. Toutes les recherches n'y changent rien, et le précieux bijou demeure introuvable. Elle n'ose rien dire à son amie, préférant donner le change en lui en achetant une, identique, mais valant 40 000 francs, endettant alors lourdement son ménage pour rembourser les crédits engagés : ils déménagent, renvoient la domestique, et elle « connut la vie horrible des nécessiteux » le mari fait de pénibles petits travaux d'écriture après son travail, et elle est obligée de faire toutes les tâches ingrates réservées avant cela aux domestiques, et cela pendant dix ans.
Au bout de ces dix années de galère, Madame Loisel croise un jour par hasard Mme Forestier, « toujours jeune, toujours belle », et juge qu'il est temps de lui avouer la vérité. D'abord, Madame Forestier ne reconnaît Madame Loisel. Celle-ci lui répond alors, désolée :
« Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs ! »
Un jour, celui-ci arrive avec une invitation pour une fête au Ministère, et pour ne pas laisser se montrer au travers de son rang, elle emprunte un collier à son amie, Jeanne Forestier, qui fait partie du beau monde qu'elle rêve de fréquenter. Rentrée chez elle, elle s'aperçoit qu'elle a perdu le collier. Toutes les recherches n'y changent rien, et le précieux bijou demeure introuvable. Elle n'ose rien dire à son amie, préférant donner le change en lui en achetant une, identique, mais valant 40 000 francs, endettant alors lourdement son ménage pour rembourser les crédits engagés : ils déménagent, renvoient la domestique, et elle « connut la vie horrible des nécessiteux » le mari fait de pénibles petits travaux d'écriture après son travail, et elle est obligée de faire toutes les tâches ingrates réservées avant cela aux domestiques, et cela pendant dix ans.
Au bout de ces dix années de galère, Madame Loisel croise un jour par hasard Mme Forestier, « toujours jeune, toujours belle », et juge qu'il est temps de lui avouer la vérité. D'abord, Madame Forestier ne reconnaît Madame Loisel. Celle-ci lui répond alors, désolée :
« Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs ! »
Il faut imaginer ce qui se serait passé si elle n’avait pas perdu la parure. Sachant que son mari avait réussi tant bien que mal à décrocher l’invitation à cette soirée, on peut donc penser que cette soirée était très importante et prestigieuse.Ainsi, on pourrait imaginer que Mathilde aurai séduit tous les hommes de la soirée et leur aurait pris de l’argent pour son propre intérêt.Mathilde deviendrait très connue dans tous le pays et deviendrait riche, et son mari aurait décroché un poste très important.Elle aurai rendu la parure à son amie et s’en aurai acheté de vraie avec son argent.
À toi de le mettre sous forme de texte
Voilà ;)
À toi de le mettre sous forme de texte
Voilà ;)